PROMESSES

Deux missionnaires en Malaisie durent un jour se rendre à la ville la plus proche de la station, ce qui signifiait parcourir une fort grande distance à travers une campagne absolument sauvage. Pour pouvoir rentrer le même soir chez eux, ils se mirent en route de très grand matin dans un chariot tiré par des boeufs. Ils arrivèrent sains et saufs à leur lieu de destination, purent encaisser à la banque l’argent qu’ils étaient venus chercher, puis ils prirent le chemin de retour. Mais la nuit tombant, ils décidèrent de bivouaquer; se remettant à la garde de Dieu, ils ne tardèrent pas à s’endormir profondément. A leur réveil, ils rendirent grâces à Dieu de les avoir si merveilleusement protégés, en constatant qu’ils n’avaient été dérangés ni par les bêtes sauvages, ni même par les bandits de grand chemin.
Quelques semaines plus tard, un homme vint se faire soigner à l’hôpital de la station; il regarda fixement le docteur qui se penchait sur lui et finit par lui dire:
-Je vous ai déjà vu.
-Non, je ne crois pas, répondit le missionnaire.
-Oh! oui, certainement, répliqua l’homme. Vous campiez sur les pentes de telle et telle colline, il ya quelques semaines.
-Oui, c’est exact, mais comment le savez-vous? Nous n’avons vu personne.
-Je vous ai suivis avec quelques camarades depuis la ville; nous vous avions vu aller à la banque, et nous savions que vous aviez de l’argent sur vous. Nous avons donc attendu la nuit pour vous attaquer et vous voler, mais lorsque nous avons découvert votre lieu de campement, nous n’avons plus osé à cause des soldats.
-Des soldats? le missionnaire se mit à rire. Il n’y avait pas de soldats avec nous.
Mais le bandit demeura inflexible dans son témoignage.
-Oui, oui, nous les avons même comptés; il yen avait seize, et ils portaient tous des épées.
Le docteur ne le contredit plus, mais estima que l’homme avait eu une hallucination.
Par la suite, retourné à Londres, il raconta l’incident au cours d’une réunion, après laquelle un homme s’approcha de lui et lui dit:
-Quel jour avez-vous campé?
Le missionnaire, en consultant son agenda, put donner la date exacte, et son interlocuteur, en ayant fait de même de son côté, ajouta:
-Ce soir-là nous avions une réunion de prière; quelqu’un a prié très spécialement pour vous; je tiens encore à préciser que nous étions seize, groupés pour la prière.

(Avec autorisation de l’Almanach Évangélique 1965)

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5.   Texte: 3 grandes «ouvertures»
     -le ciel (Actes 7, 55; Apoc. 4, 1)
     -l’enfer (Esaïe 5, 14)
     -une fontaine (Zach.13, 1)


6.   Texte: 5 choses ouvertes dans Actes 16
     -Lydie. ..ses oreilles (vers.14)
     -Lydie. ..son coeur (vers. 14)
     -Lydie. ..sa bouche (vers. 15)
     -Lydie. ..sa maison (vers. 15)
     -le geôlier …la prison (vers. 26)

7.   Texte: 6 choses ouvertes dans Luc 24
     -le sépulcre (vers. 2)
     -les yeux (vers. 31 )
     -les Ecritures (vers. 32)
     -l’intelligence (vers.45)
     -le ciel (vers. 51 )
     -les bouches (vers. 53)

8.   Texte: 7 choses ouvertes
     -une porte (Apoc. 4, 1)
     -une fenêtre (Gen. 8, 6)
     -un livre (Apoc. 20,12)
     -un tombeau (Mat th. 27,52)
     -un ciel (Mat th. 3, 16; Actes 7, 56)
     -un temple (Apoc.11, 19)
     -les Ecritures (Luc. 24, 32)

9.   Texte: 7 voiles dans la Bible
     -le voile de l’EPOUSE (Rebecca) (Gen. 24, 15)
     -le voile de la GLANEUSE (Ruth) (Ruth 3, 15)
     -le voile de la NATURE (cheveux de la femme) (1 Cor. 11, 15)
     -le voile PERDU (Cant. 5, 7)
     -le voile de MOISE le médiateur (2 Cor. 3, 13)
     -le voile TYPIQUE dans le temple (Mat th. 27, 51)
     -le voile du JUGEMENT (Es. 25, 7)

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Ps. 105.8-9

Notre foi est basée sur la Parole de Dieu, la Bible; plus encore que notre foi: notre conviction. «Notre espérance est comme une ancre de l’âme, ferme et solide; elle pénètre au delà du voile. ..où Jésus est entré pour nous» (Hébr. 6.19).
Précieuses sont Ses promesses. Déjà maintenant, nous les possédons nous les serrons dans nos mains. Encore obscurément, «comme au travers du voile», nous voyons!

AUJOURD’HUI

«Aujourd’hui, disait Jésus à l’un des malfaiteurs sur la croix, aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis» {Luc. 23). Qu’avait fait cet homme pour entendre une telle parole, une telle promesse? Rien! Ou si: il avait réfléchi. Après avoir injurié Jésus {Marc. 15), une pensée raisonnable avait envahi son coeur: «Notre condamnation est juste; nous recevons ce que nos actions ont mérité.» C’est là le point précis où un Dieu saint veut amener l’homme. Car aucun n’est pur, sans tache, quelle que soit d’ailleurs la gravité de ses fautes. L’homme, par son choix, s’est éloigné de son Créateur; il est condamné à la mort éternelle, à une juste condamnation, à cause de ses péchés. Mais dans sa sollicitude pour sa créature, Dieu a déterminé un chemin, il a prouvé son amour en livrant son Fils à notre place, son Fils, Celui «qui n’avait fait aucun mal»!

TU SERAS AVEC MOI

A l’instar du péager du ch. 18 de Luc, il se serait bien frappé la poitrine, mais il ne le pouvait plus! Il était cloué au bois, subissant la peine infligée par le tribunal des hommes.
Mais à quand le tribunal de Dieu? Dans quelques heures, le jugement des hommes sera consommé. «Un autre me jugera-t-il? Celui qui est à mes côtés, serait-il …le Juste? Le Messie?» La pensée va vite, la réflexion, la foi peut-être? :
«Jésus, souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton règne.» Dans ton règne! Là où tu règnes, là où tu juges! Or, est-il écrit, le Seigneur est plein de miséricorde et de compassion. Il pardonne à celui qui constate sa misère et se repent. Aussi Jésus répond-il au brigand: «Je te le déclare, aujourd’hui tu seras avec moi.»

DANS LE PARADIS

Promesse en l’air? Fiche de consolation? Non. Certitude du croyant, de celui qui est, dès ici-bas, scellé par l’Esprit (Eph. 1. 13), gage de ce pardon. Bonheur de celui qui met sa confiance en un Dieu qui s’annonce comme un Père, à la condition de passer par un intermédiaire, selon ce qul est écrit: «Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui- même.»

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«L’insensé dir en son coeur : Il n’y a point de Dieu» Ps. 14.1

Alors que l’évangéliste E. L. Hyde tenait une série de réunions d’évangélisation à New-Jersey (USA), il déclara un jour qu’il pourrait prouver en dix minutes, d’une manière satisfaisante pour l’intéressé, qu’il était un sot s’il ne croyait pas au message de Dieu. Lors d’une promenade que l’évangéliste fit le jour suivant, quelqu’un l’accosta et lui demanda à brûle-pourpoint:
-N’êtes-vous pas l’évangéliste qui parle ici à l’église?
-Oui, c’est moi.
-Bien; j’admets que vous pensez être un honnête homme.
-C’est certain.
-Moi j’en doute! N’avez-vous pas dit clairement, hier soir, que vous pouviez prouver à n’importe quel incroyant qu’il était un sot? Si vous ne pouvez pas me le prouver maintenant, à mon entière satisfaction, je publierai votre nom dans tous les quotidiens de la ville comme étant celui du plus grand menteur qu’elle ait jamais abrité.

M. Hyde, voyant immédiatement qu’il était inutile de chercher à convaincre son interlocuteur lui dit:
-Où donc est cet incrédule?
-C’est moi, je l’avoue franchement, et vous pouvez êtes certain que je ne suis pas un sot.
-Vous ne pouvez cependant prétendre que le christianisme ne contienne aucune réalité!
-Si, Monsieur, j’ai étudié le sujet à fond. J’ai entrepris de longs voyages et tenu de nombreuses conférences contre la foi chrétienne pendant plus de douze ans. Je puis vous le dire: Il n’y a rien là- dessous!
-Etes-vous certain qu’il n’y ait rien là-dessous, comme vous le dites?
-J’en suis absolument sûr.
-Voulez-vous alors me dire – dit lentement M. Hyde – qui, d’après vous, est un sot, sinon celui qui, pendant douze ans, a fait des conférences contre quelque chose qui n’existe pas?

L’incroyant se retourna, écumant de rage. M. Hyde tira sa montre et constata qu’il lui restait encore six minutes pour répondre. ..cependant l’homme ne voulut plus rien entendre.
Mais le lendemain, comme d’ailleurs les jours suivants, te nom de M. Hyde ne parut pas dans les journaux de la ville!

Avec autorisation du périodique «Ruf zur Entscheidung» (Janz Team)

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Jean 3:16
Car Dieul’Auteurde TON salut
a tellementla grandeurde TON salut
aimé le mondele bénéficiairedu salut
qu’Il a donnéle moyende TON salut
son Fils uniquele donpour TON salut
afin que quiconquel’universalitédu salut
croit en Luila conditionde TON salut
ne périsse pointla conséquencede TON salut
mais qu’il aitl’actualitéde TON salut
la viele butde TON salut
éternellel’indestructibilitéde TON salut


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1. Texte: «Seigneur, à qui irions-nous? Tu as les paroles de la vie éternelle; et nous avons cru, et nous avons connu que tu es le Saint de Dieu.» Jean 6:68
Ceux qui confessent le Seigneur Jésus comme Fils de Dieu dans l’Evangile de Jean :
Chapitre 1 : Jean-Baptiste
Chapitre 1: André
Chapitre 1: Philippe
Chapitre 1 : Nathanaël
Chapitre 6: Pierre
Chapitre 11 : Marthe
Chapitre 20: Jean, l’apôtre


2. Texte : Les «Je suis» dans l’Evangile de Jean (Jean 8:58)
«Jésus, répondant aux Juifs, dit: En vérité, en vérité, je vous le déclare, avant qu’Abraham fût, je suis»
Chapitre 6: «Je suis le pain de vie»
Chapitre 8: «Je suis la lumière du monde»
Chapitre 10: «Je suis la porte des brebis»
Chapitre 10: «Je suis le bon berger»
Chapitre 11: «Je suis la résurrection et la vie»
Chapitre 14: «Je suis le chemin, la vérité et la vie, nul ne vient au Père que par moi»
Chapitre 15: «Je suis le vrai cep»


3. Texte: «Le bon berger» dans l’Evangile de Jean, chapitre 10 Ce que fait le bon berger en faveur de ses brebis:
Il entre par la porte
Il appelle les brebis par leur nom
Il les mène dehors
Il marche devant elles
Il donne sa vie pour elles
Il a d’autres brebis; il faut qu’il les amène aussi
Il leur donne la vie éternelle
Conséquence: «Mes brebis entendent ma voix, et elles me suivent»


4. Texte: La venue du Seigneur (Apocalypse 22:20) ce qu’elle est:
certaine quant à son accomplissement (Apoc. 22:20)
exclusive quant aux élus (1 Cor. 15,23)
secrète quant à sa méthode (Actes 1:11 )
soudaine quant à son opération (1 Cor. 15,52)
définitive quant à la délivrance des saints (Phil.3,20-21)
terrible quant à ceux qui refusent la grâce (Matth. 25,11-12)
glorieuse quant à son dénouement (Apocalypse 5)
Conclusion: «Prépare-toi à rencontrer ton Dieu» (Amos 4:12)

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Un chrétien ayant à coeur le salut des pécheurs, consacrait ses vacances à répandre l’Evangile en distribuant des traités. Dans ce but, il avait choisi comme champ d’activité, un bateau faisant le service de la rivière Clyde, en Ecosse. Comme il tendait une brochure à l’un des voyageurs, ce dernier lui fit observer que ses efforts n’avaient que fort peu de succès en perspective. «Je ne méprise nullement ce genre de travail», ajouta-t-il, «j’en ai fait autant dans ma jeunesse étant moi-même un croyant, mais je n’ai jamais récolté le moindre fruit.» Le colporteur fut un peu interloqué de cette remarque, mais le souvenir de sa propre conversion dissipa bien vite cette impression. Elle était due, en effet:, à la lecture d’un traité reçu dans la rue, lorsqu’il avait douze ans. Par une froide soirée d’hiver, le jeune garçon passait devant une salle de mission, lorsqu’un inconnu l’arrêta et lui tendit un traité tout en l’invitant à entrer pour écouter l’Evangile. Il accepta et entendit là des paroles qui réveillèrent sa conscience, l’amenant à penser à l’éternité et à son état de péché devant Dieu. Rentré chez lui, dans un grand travail d’âme, il lut le traité et trouva la paix.

Le colporteur raconta ces détails au voyageur qui témoigna un vif intérêt à l’ouïe de ce récit. «Puis-je vous demander où cet émouvant épisode s’est passé?» Lorsqu’il connut le nom de la rue, la maison et la date précise, ses yeux se remplirent de larmes et s’emparant de la main de son interlocuteur, il lui dit avec une profonde émotion: «Je me souviens parfaitement du jeune garçon aux yeux brillants, que j’engageai à entrer, ce soir-là, dans la salle des missions; car c’est à moi qu’avait été confiée, pendant plusieurs soirées, la tâche d’inviter les passants et de leur remettre des traités. J’étais alors tout jeune converti et, comme je ne voyais aucun fruit de mon service, je finis par l’abandonner. Il y a vingt ans de cela, et Dieu me montra, et Dieu me montre aujourd’hui que mon service pour Lui n’a pas été vain. S’Il me conserve en vie jusqu’à mon retour en ville, je reprendrai, avec son aide, le travail qu’Il m’avait confié, travail que par infidélité et manque de foi, je n’avais pas jugé digne d’être accompli.»

L’intervalle de vingt ans était perdu pour toujours. Bientôt l’occasion de servir le Seigneur prendra fin pour nous aussi. «Ne nous laissons pas en faisant le bien, car, au temps propre, nous moissonnerons, si nous ne défaillons pas.» (Gal 6.9)

Extrait du livre «Jusqu’à Lui» avec la permission du Dépôt de livres et de traités chrétiens, Vevey.

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(2 Tim.1, 7-9)

«Dieu ne nous a pas donné un esprit de timidité, mais de force, d’amour e! de prudence.»

Timide = qui manque de hardiesse et d’assurance, dit le dictionnaire. Dieu, en vue du but qu’il s’est proposé, nous a adressé une «VOCATION SAINTE», et pour cette vocation, il nous revêt:

de force – par quoi nous devons comprendre force de caractère, maîtrise de soi, tranquillité d’esprit, toutes choses qui sont contraires à la timidité. Une stabilité nouvelle, créée par le Saint-Esprit de Dieu qui nous donne l’assurance du salut; un contrôle de soi-même qui peut ne pas être naturel, mais qui est le résultat du travail de cet Esprit.

d’amour – de compréhension, de compassion, de pardon, amour qui n’est pas mollesse, ni faiblesse, mais qui prend part aux malheurs du prochain, qui comprend le pécheur et repousse le péché.

de prudence – mieux encore discipline personnelle, d’intelligence avertie, de jugement balancé, nuancé, sans laisser-aller.

Etes-vous craintif de nature, manquez-vous d’assurance, avez-vous ce qu’on appelle un complexe d’infériorité, craignez-vous de vous affirmer? Lisez les lettres à Timothée. C’était un timide de nature, et l’apôtre l’encouragea. Notez ceci: Dieu DONNE UN AUTRE ESPRIT que celui que vous aviez précédemment. Il donne gratuitement. Alors, demandez, priez. Il vous DONNERA.

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