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Dernier numéro d'édition publié : #227
Un contexte culturel particulier
« Mais enfin mon fils, est-ce que je suis en train de te parler hébreu ? » C’est une remarque que j’ai souvent entendue lorsque, enfant, j’avais désobéi à une directive paternelle. Mon père sous-entendait : « Je te parle dans une langue intelligible, une langue autre que l’hébreu, tu devrais écouter, comprendre et donc obéir. »
Je suis né au Moyen-Orient, au Liban, pays situé au nord de l’actuel État d’Israël. Ma famille était de tradition chrétienne, grecque-orthodoxe du côté paternel et maronite (catholique romaine) du côté maternel.
J’ai suivi des études dans des collèges de tradition chrétienne. Je me pensais chrétien, me disais chrétien, mais, au sens biblique du terme, je ne l’étais pas. Dans ce tableau ressortait un sujet épineux : le peuple juif.
Ou plus généralement : « le Juif ».
Une aversion ethnique injuste
Le peuple juif était considéré comme déicide, celui qui avait « tué Dieu », en référence à la mort de Jésus-Christ sur la croix (Act 2.23).
Cette pensée latente impliquait de la méfiance à l’égard de ce peuple.
Toutes sortes d’histoires de mauvais goût circulaient à son propos. Par exemple, lors d’une discussion à propos d’un événement impliquant une personne juive, il était courant d’entendre, en conclusion : « Il est juif ! », ponctué par un geste de la main et un signe de la tête.
À contexte égal, à situation similaire, les réactions différaient, selon que la personne était juive ou non.
Donc, il y avait effectivement une aversion ethnique injuste envers le peuple juif. J’ai baigné dans cette ambiance, alimentée d’informations incomplètes ou erronées.
La Parole éclaire la pensée
Mon regard a changé lorsque l’Évangile m’a été annoncé et que je me suis converti au Seigneur.
En lisant et étudiant la Bible, j’ai eu accès pour la première fois au récit biblique complet. Les versets bibliques suivants m’ont particulièrement éclairé :« Le Père m’aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre. Personne ne me l’ôte, mais je la donne de moi–même ; j’ai le pouvoir de la donner et j’ai le pouvoir de la reprendre ; tel est l’ordre que j’ai reçu de mon Père. » (Jean 10.17-18)
« Cet homme, livré selon le dessein arrêté et selon la prescience de Dieu, vous l’avez crucifié, vous l’avez fait mourir par la main des impies. » (Act 2.23)
Ma compréhension des événements entourant la mort de Jésus a été clarifiée. En voici quelques points :
1. Le pouvoir de Jésus de donner et de reprendre sa vie
La croix n’aurait jamais eu lieu, si Jésus, le Fils de Dieu, n’avait décidé de donner volontairement sa vie, en parfait accord avec Dieu le Père (Jean 10.17-18).
2. La souveraineté de Dieu concernant la croix
Jésus est livré selon le plan de Dieu, qui en avait décidé ainsi et qui avait prévu que cela arriverait (Act 2.23a).
3. La responsabilité des Juifs
Une fois Jésus en leur pouvoir, ils l’ont tué en le faisant crucifier par la main des impies (Act 2.23b).
4. La responsabilité des non-Juifs
Jésus a été crucifié par la main des impies, les non-Juifs, qui le savaient innocent. Pilate avait dit ne rien trouver de coupable en lui, s’était déclaré innocent du sang de ce juste, mais l’a quand même fait crucifier (Act 2.23c, Mat 27.24, Luc 23.24).
En synthétisant ce qui précède, je comprenais que Dieu avait décidé à l’avance de livrer Jésus-Christ, afin qu’il accomplisse l’œuvre de la rédemption. Les Juifs et les païens se sont emparés de lui, et, tout en sachant qu’il était innocent, l’ont crucifié.
Vue sous cet angle, la responsabilité humaine de la mort de Jésus-Christ est commune aux Juifs et aux païens. À l’étude de la Parole, il n’était plus question pour moi de considérer, avec les lunettes de ma culture traditionnelle chrétienne, le peuple juif comme seul « déicide ». Je devais admettre que tous, Juifs et païens, étaient responsables de l’exécution d’un innocent, du Messie, de l’agneau de Dieu, sur la croix. À ce point de ma réflexion, mon âme était révoltée au plus profond de moi de ce que ces hommes, en ce temps, avaient fait au Seigneur.
Il me semblait impossible que des personnes dotées de bon sens puissent agir de la sorte. Mais, il est souvent plus facile de détecter un problème chez autrui que de se rendre compte de la présence et de l’étendue du même problème chez soi.
La Parole révèle le cœur
Par la suite, en méditant sur ces événements, à travers la Parole, des questions me sont venues à l’esprit, à propos de moi-même :
« Et toi, si tu avais été résident à Jérusalem, au moment de l’entrée de Jésus dans la ville, qu’aurais-tu dit ? N’aurais-tu pas acclamé Jésus avec la foule ?
Et au moment du procès de Jésus, qu’aurais-tu demandé avec la foule ? Sa libération ou sa crucifixion ?
Et si tu avais été parmi les disciples qui l’ont suivi tout le long de son ministère terrestre, si tu l’avais vu guérir ceux qui avaient le cœur brisé, annoncer la bonne nouvelle aux pauvres, proclamer aux captifs la délivrance et aux aveugles le recouvrement de la vue, renvoyer libres les opprimés, et proclamer une année de grâce du Seigneur, qu’aurais-tu fait lors de son arrestation ? Ne te serais-tu pas enfui, à l’instar de tous les disciples ?
Et si tu avais été dans cette cour, entouré des serviteurs et servantes du souverain sacrificateur, qu’aurais-tu répondu à la remarque « Toi aussi, tu étais avec Jésus le Galiléen » ? N’aurais-tu pas objecté « Je ne sais pas ce que tu veux dire ; je ne connais pas cet homme », en faisant des imprécations et en jurant ? N’aurais-tu pas nié, même dix fois, le connaître ? »
Oui, connaissant mon cœur, la dureté dont il est capable (Jér 17.9), je reconnais que j’aurais agi comme tous ceux-là et peut-être même pire. Ma main aurait pu être de celles qui plantaient les clous dans les mains du Seigneur ! En définitive, je me suis rendu compte que j’avais les mêmes capacités à pécher que les contemporains de Jésus. Malgré les deux millénaires qui me séparent d’eux, il n’y a aucune différence entre moi et eux (Rom 3.23). Je réalisais que j’étais tout aussi profondément atteint par le péché que n’importe quel autre homme ayant vécu, hormis Jésus.
L’aversion remplacée par l’amour
En comprenant ce que la Bible relate des événements autour de la croix, ma haine du peuple juif, cette injuste aversion que j’avais du Juif a disparu d’elle-même. Pour la première fois de ma vie, j’ai rencontré des frères et sœurs juifs croyant en Jésus, et développé avec eux une amitié profonde, fraternelle et durable.
J’ai aussi pris plus exactement conscience du besoin vital de tout être humain, Juif ou non-Juif, du salut offert par Dieu en Jésus-Christ seul. Un amour est né dans mon cœur pour le peuple juif et pour les autres peuples. Un amour qui suscite le désir de voir de nombreuses personnes graciées, pardonnées, justifiées, adoptées, restaurées par Dieu, comme je l’ai été moi-même, par « l’Évangile [qui] est la puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit, du Juif premièrement, puis du Grec. » (Rom 1.16)
- Edité par Akl Fadi
L’amour et la justice peuvent paraître incompatibles.
L’huile et l’eau ne se mélangent pas ; en va-t-il de même pour ces deux attributs divins ? Les fautes innombrables de chaque être humain le condamnent devant le juste Juge. Mais nous tenterons de montrer que dans son amour infini, Dieu n’exclut aucun homme de son plan de salut. Car « là où le péché a abondé, la grâce a surabondé » (Rom 5.20).
On entend parfois certains chrétiens dire : « Dieu serait parfaitement juste s’il laissait tous les hommes aller en enfer. »
On ne peut qu’acquiescer à cette affirmation d’après la Bible. En effet, « tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » (Rom 3.23). Après la chute d’Adam et Ève, le péché a tellement souillé l’humanité que le Dieu très saint aurait pu l’éradiquer totalement.
Cependant, cette première affirmation est souvent citée dans le but d’en faire accepter une seconde : « Dieu est donc plein de grâce (ou d’amour) en sélectionnant certains humains pour les sauver tout en laissant les autres à leur funeste destinée [note]Cette affirmation est parfois appelée « la double prédestination ». Cette expression provient de l’Institution de la religion chrétienne, Jean Calvin ; livre 3, chapitre 21 : « De l’élection éternelle : par laquelle Dieu en a prédestiné les uns à salut, et les autres à condamnation. »[/note] . » Dieu choisirait certains (les élus) et communiquerait son salut à eux seuls, et déciderait de laisser les autres dans leur état.
La seconde affirmation est un non sequitur, c’est-à-dire qu’elle n’est pas la conclusion logique de la première proposition. La première affirmation parle de la justice de Dieu et la seconde de la grâce de Dieu. Ce sont deux points différents, et les deux propositions doivent être démontrées par la Bible.
Que nous dit donc la Bible sur la grâce et l’amour de Dieu ? L’amour divin est-il limité à un certain nombre d’humains ?
La réponse à ces questions peut avoir un grand impact sur notre vie de foi et sur la manière dont nous allons annoncer à tous la bonne nouvelle du salut.
Le choix divin
Le chapitre 9 de l’Épître aux Romains pourrait laisser penser que Dieu a sélectionné un certain nombre d’individus pour le salut. Nous ne pouvons en faire une étude détaillée ici [note] Pour une étude détaillée sous cet angle, voir Leighton Flowers, La Promesse du potier.[/note]. , mais nous estimons que l’objectif de Paul dans ce chapitre va précisément à l’inverse de cette position. Ce chapitre est centré sur le rôle d’Israël, du premier au dernier verset.
D’ailleurs, les chapitres 9, 10 et 11 de Romains pourraient être titrés : le passé, le présent et l’avenir d’Israël.
Certaines expressions du chapitre 9 peuvent sembler choquantes à première vue, mais si l’on comprend l’objectif de Paul, tout s’éclaire. Il montre d’abord que les promesses et l’élection d’Israël ne pouvaient échouer. En choisissant ce peuple, Dieu avait le salut du monde entier en vue puisque le Christ devait sortir d’Israël (Rom 9.5) ! Il ne faudra donc pas mélanger ici l’élection d’Israël (comme peuple) et celle du chrétien (comme individu).
Israël s’est endurci et a rejeté son propre Messie. Mais Paul déclare que cela n’a pas fait échouer la promesse ! Dieu s’est servi de ce peuple rebelle, il l’a même enfermé momentanément dans son endurcissement pour se servir de lui. Dieu a tourné leur mal en bien, pour le salut du monde. Dieu avait de la même manière utilisé l’endurcissement de Pharaon pour libérer son peuple (Rom 9.17).
Paul déclare fermement : « Ainsi, il fait miséricorde à qui il veut, et il endurcit qui il veut. Tu me diras : Pourquoi blâme-t-il encore ? Car qui est-ce qui résiste à sa volonté ? » (Rom 9.18-19) On pourrait alors être tenté d’approuver cette affirmation : « Vous voyez, Dieu choisit qui il veut sauver ! Alors qui êtes-vous pour le blâmer d’agir ainsi ? »
Mais il n’est pas question de salut dans ce passage. Paul continue son raisonnement en expliquant la chute d’Israël. Le contradicteur de Paul qui pose des questions au verset 19, c’est un Juif. Ce Juif reproche à Dieu de l’écarter au profit de gens des nations ! Lui, le fils d’Abraham, mérite le salut car il appartient au peuple élu ! Dieu n’a pas le droit de faire miséricorde à ces chiens des nations ! C’est aussi dans ce sens que Paul conclut son texte (Rom 9.29-33).
Sorti de son contexte, le verset 18 pourrait faire croire que Dieu restreint son salut à quelques élus choisis de manière mystérieuse. Paul dit ici tout le contraire : Dieu choisit d’endurcir un peuple élu mais rebelle, afin d’étendre son salut à toutes les nations ! Romains 9 ne décrit pas une restriction du salut à quelques hommes, mais une ouverture du salut à tous ceux qui l’acceptent par la foi (Rom 9.31). Et en effet, personne ne peut le blâmer pour ce choix souverain !
L’amour de Dieu pour tous
Imaginons un père très riche qui aurait trois enfants. Ces derniers complotent pour lui voler son argent et s’enfuir dans un pays étranger. Si le père retrouve leur adresse et offre le pardon à son préféré, mais pas aux deux autres qu’il dénonce à la police, il ne commettrait pas d’injustice vis-à-vis de la loi.
Néanmoins, serait-il pleinement « amour » de n’en choisir qu’un pour être réconcilié avec lui ? Ne serait-ce pas là une attitude partiale ?
Dans cet exemple, Dieu, représenté par le père, ne voudrait sauver que certains hommes. Or, Jésus nous exhorte à aimer et à bénir nos ennemis sans exception (Mat 5.44). Il serait très étonnant que Jésus nous demande de faire une chose que le Père ne ferait pas lui-même.
Il y a bien une forme de l’amour divin qui s’étend à tous les hommes. Cette « grâce commune » dispense à tous des bienfaits terrestres donnés par Dieu (comme le soleil et la pluie, Mat 5.45). En ce qui concerne le salut en revanche, la foi ne serait donnée par Dieu qu’à certains (par un « appel irrésistible »).
Mais l’amour de Dieu pour tous les hommes va bien au-delà ; il est décrit en des termes bien plus forts que le seul amour providentiel de Dieu. Paul nous exhorte à « comprendre avec tous les saints quelle est la largeur, la longueur, la profondeur et la hauteur, et connaître l’amour de Christ, qui surpasse toute connaissance » (Éph 3.18-19). Avec ses quatre dimensions, comme l’espace-temps, cet amour ne peut qu’englober l’humanité entière, en tout lieu et en tout temps. Beaucoup de versets l’affirment [note]ean 3.16 ; 4.42 ; 1 Tim 2.4, etc.[/note] comme 1 Tim 4.10, où Paul dit même clairement que Dieu est le « Sauveur de tous les hommes, surtout des croyants ». L’amour de Dieu, qui le pousse à vouloir sauver les hommes, ne s’étend donc pas qu’aux élus (ceux qui ont foi en Christ) : il est bien disponible pour tous.
L’amour véritable nécessite une absence de contrainte entre les deux parties, ce qui implique un risque de rejet. Dieu « prend le risque » de nous aimer tous, quitte à se faire rejeter par certains. Cela peut paraître peu glorieux à quelques-uns. Dieu n’est-il pas un roi souverain ? Se laisserait-il marcher sur les pieds ainsi ? La Bible semble plutôt montrer que la plus grande gloire de Dieu est associée à son abaissement jusqu’à nous en la personne de son Fils.
C’est tout le message biblique qui nous présente un Dieu qui ne s’impose pas mais qui souhaite que tous les hommes « s’efforcent de le trouver en tâtonnant, bien qu’il ne soit pas loin de chacun de nous » (Act 17.27).
C’est son libre choix d’offrir son salut à quiconque lorsqu’il dit : « Que celui qui a soif vienne ; que celui qui veut prenne de l’eau de la vie, gratuitement. » (Apoc 22.17)
Un amour universel, un salut conditionnel
Mais alors, pourquoi certains ne sont finalement pas sauvés ? Tout simplement parce qu’ils ne veulent pas emprunter le chemin du salut dans les termes souverainement décrétés par Dieu. Ce chemin passe par la repentance. Malheureusement, ceci ne plaît pas à l’homme qui se croit juste par lui-même.
Même les pharisiens endurcis étaient appelés à se convertir : « Et tout le peuple qui l’a entendu et même les publicains ont justifié Dieu, en se faisant baptiser du baptême de Jean ; mais les pharisiens et les docteurs de la loi, en ne se faisant pas baptiser par lui, ont rendu nul à leur égard le dessein de Dieu. » (Luc 7.29-30) Ces derniers n’étaient pas mis à l’écart par Dieu. Ils se sont écartés du plan de Dieu pour leur salut à cause de leur orgueil, en rejetant le baptême de la repentance proposé par Jean.
Concernant le motif du jugement éternel de certains hommes, Jésus est très clair : ce qui condamne les hommes, c’est leur rejet de la foi en lui :
• « Dieu, en effet, n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu’il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. Celui qui croit en lui n’est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. » (Jean 3.17-18)
• « Si je n’étais pas venu et que je ne leur aie point parlé, ils n’auraient pas de péché ; mais maintenant ils n’ont aucune excuse de leur péché. » (Jean 15.22)
Si certains iront en enfer, d’après Jésus lui-même, ce n’est pas en raison d’un décret divin, ni de leur nature pécheresse héritée d’Adam. Pour cela, même s’ils sont responsables de leurs actes, ils sont aussi des victimes de leur mauvaise nature (Rom 7). Leur incapacité à se conformer à la Loi de Dieu a été démontrée, ils sont esclaves du péché. C’est pourquoi Dieu dans sa grâce, a donné le salut sur la base de la foi (opposée aux œuvres par définition). La faute vraiment impardonnable pour Jésus est donc de ne pas croire en lui, de refuser son témoignage et son œuvre, de rejeter le pardon qu’il a si chèrement acquis ! Reconnaître simplement que l’on n’arrive pas à être juste par soi-même, lorsque le Saint-Esprit et notre expérience nous le montrent, voilà qui est à notre portée !
La foi n’est donc pas communiquée aux élus seuls par un décret divin car cela reviendrait à dire que Dieu jugerait les hommes coupables de ne pas accepter la foi… sans leur en communiquer la capacité. Cela semble incohérent.
On pourrait objecter que la foi est présentée dans certains versets comme un don de Dieu, comme une grâce (Phil 1.29 par exemple). C’est vrai, mais comme un cadeau, on peut l’accepter ou le refuser.
Nous prions Dieu pour qu’il nous « donne » le pain de chaque jour, et pourtant nous travaillons pour le gagner. De même, en matière de foi, Dieu a choisi de répartir les responsabilités. Dieu a préparé le salut en Jésus au moyen de la foi, c’est lui qui équipe des chrétiens pour annoncer sa Parole au monde, et c’est aussi lui qui travaille dans les cœurs. Ne rejetons pas son plan d’amour, mais plaçons notre confiance en lui.
* * *
Dieu est juste, il pourrait nous envoyer tous en enfer sans remède ; mais Dieu est amour et ne laisse personne sur le bord du chemin, « ne voulant pas qu’aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance » (2 Pi 3.9).
Nous pouvons donc partager le message du salut avec assurance, sachant que cette offre divine est réellement disponible pour chaque être humain qui se repent.
« Dieu, sans tenir compte des temps d’ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu’ils ont à se repentir, parce qu’il a fixé un jour où il jugera le monde selon la justice, par l’homme qu’il a désigné. » (Act 17.30-31)
- Edité par Combe Silvain
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- #Non classé
En présentant le premier numero de PROMESSES
à nos frères en la foi, nous pensons bien faire d’exposer les principes qui seront à la base de ce «Cahier d’études bibliques».
Nous chercherons à être utiles à tous, à l’église de Dieu d’abord, c’est-à-dire au Chef de l’église, Christ, mais aussi à ceux pour qui la Parole est précieuse, à ceux qui désirent étudier et obéir.
Les bulletins, feuilles de renseignements, journaux mensuels ou trimestriels foisonnent. Tous, ou presque, apportent des nouvelles missionnaires ou d’évangélisation. Ce qu’on recherche ici est beaucoup plus un cahier comportant exclusivement des études bibliques ou se rapportant spécifiquement à la Parole.
La plupart des assemblées de «frères» issues du mouvement datant des années 20-30 du siècle écoulé semblent vivre au ralenti, l’esprit missionnaire mis à part. Comme dans tout mouvement, certaines vérités ont été poussées en «épingle», d’autres ont été négligées; des intérêts particuliers ont pris le pas sur les valeurs spirituelles. Nous assistons à un rétrécissement sérieux de l’influence, de l’action que devraient avoir des églises de foi, c’est-à-dire formées d’enfants de Dieu véritables, scellés par l’Esprit de Dieu.
En toute humilité, nous désirons demander au Seigneur sa lumière, afin de marcher selon sa grâce, en fidélité, devant sa face. Nous ne saurions prétendre connaître tout ce que Dieu veut pour les siens et son église, mais notre désir est d’apporter ce qui, aujourd’hui, est utile pour l’édification et la consolation de nombreux enfants de Dieu. Précisons que nous ne voudrions pas représenter un point de vue particulier, mais étudier la Parole, en respectant la sainteté de Dieu.
Chaque étude signée restera sous la responsabilité de son auteur. L’enseignement de ces pages semble devoir être d’une étendue qui surprendra peut-être. Notre désir est, à la fois, de présenter des études fouillées pour le chrétien avancé, mais aussi des explications de termes, de langage, pour ceux qui ne connaissent pas notre langue d’une manière approfondie.
A titre d’essai, nous ferons parvenir un certain nombre d’exemplaires au monde francophone d’outre-mer. Il faudra ainsi tenir compte de ce champ de diffusion.De divers côtés, sinon dans nos vieux pays, on demande, en effet, une littérature chrétienne plus abondante, basée sur la Bible, la Parole de Dieu. Quelques-uns d’entre nous ont cru devoir répondre à ce désir. Nous plaçons ces cahiers sous le regard du «Chef», demandant à Dieu sa bénédiction pour rendre témoignage à la Vérité.
- Edité par Les editeurs
- #Eglise
Où nous mène la formidable évolution qui soulève le monde chrétien tout entier? En cette période d’après le Concile du Vatican Il, il est utile de dresser un bilan des faits, même provisoire, et de procéder à un tour d’horizon général.
Eléments positifs de l’évolution catholique: Incontestablement, des mouvements intéressants se font sentir dans l’Eglise romaine: étude et diffusion de la Bible en voie de développement, dialogue engagé avec les autres confessions, reconnaissance du fait que les communautés des «frères séparés» protestants peuvent porter le titre d’églises, admission d’une part de responsabilité dans la rupture du XVIe siècle. Au cours du Concile du Vatican Il, l’opinion a été exprimée à maintes reprises que l’Eglise catholique avait besoin d’un renouveau si elle voulait réellement entreprendre le dialogue avec les églises non-romaines. Il y eut des discussions très libres, suivies de votes positifs impressionnants, par exemple sur la collégialité des évêques gouvernant l’Eglise avec le pape, l’usage de la langue vulgaire dans le culte, l’oecuménisme, la liberté religieuse, la limitation des naissances, le peuple juif, l’Ecriture Sainte et la Tradition, etc.
Fin décevante de Vatican Il: Rappelons quelques faits justifiant cette impression de l’ensemble des observateurs non catholiques.
La collégialité des évêques doit être entendue de telle manière que la primauté du pape demeure intacte. La structure monarchique de l’Eglise romaine n’en sera pas affectée, le pape reste le souverain absolu. Le collège épiscopal n’a aucune autorité sans ce dernier. Paul VI, dans son discours d’ouverture à la troisième session, ne s’en est pas référé moins de sept fois à sa primauté, et le mot-clé qu’il a constamment utilisé était celui de «hiérarchie sacrée». Le pasteur G. Richard-Molard estime qu’un tel discours «ne peut guère qu’hérisser la plupart des chrétiens non catholiques romains» («Messager Social», 10 déc.; S. CE- P. I., 1er oct.; 24 sept. 1964).
Il est clair, selon le même pasteur, «que l’Eglise catholique est toujours placée sous l’unique pouvoir de l’Eglise romaine. Or, il ne s’agit pas là d’une découverte de La Palice, mais d’une situation, chaque jour plus insupportable pour les catholiques eux-mêmes. Cette direction totalitaire italienne, ou pire encore, romanisée, possède encore tous les leviers de commande» («Christianisme au XXe siècle», 29 oct. 1964). Cela n’empêche pas qu’une seconde force «se manifeste par l’esprit nouveau qui anime une partie toujours plus large du catholicisme non italien. Il ne faut pas s’imaginer que cet esprit ait changé en quoi que ce soit la masse, mais il passe sur quelques centaines d’évêques, sur de nombreux prêtres et sur une élite de laïcs» (ibid.).
La Vierge Marie a été proclamée Mère de l’Eglise, sans l’avis des pères conciliaires, par Paul VI, qui lui a consacré la moitié de son discours de clôture {cf. «Chrétien Evangélique», déc. 1964, p. 5). Cette proclamation «a détruit tous les efforts des pères conciliaires qui. .. s’étaient ingéniés à éviter autant que possible les déclarations de nature à. ..donner de l’extension au dogme marial et à choquer les protestants» {«Christ U. Welt», cité par S. CE. P. I., 3 déc. 1964).
Le 11 octobre 1963, le pape a terminé une allocution aux pères du Concile et aux fidèles par cette prière à la Sainte Vierge: «O Marie, nous vous prions pour nos frères encore séparés de notre famille catholique. Voyez comment, parmi eux, une phalange glorieuse célèbre votre culte avec fidélité et amour. Voyez comment parmi d’autres, si résolus à se dire chrétiens, commence à renaître aujourd’hui votre souvenir et votre culte, ô Vierge très bonne. Appelez avec nous tous ces fils, qui sont vôtres, à la même unité sous votre protection maternelle et céleste» («Documentation Catholique», 3 novembre 1963).
Le cardinal Doepfner, de Munich, dont les interventions au Concile ont été souvent remarquées, vient de déclarer à son tour: «Amoindrir dans l’Eglise le culte de la Vierge Marie serait un malentendu et une mauvaise interprétation des enseignements du Concile. ..Nous voulons approfondir et enraciner encore plus fort dans ce mystère du Christ le riche héritage laissé à l’Eglise par la Vierge Marie. Elle a un grand rôle à jouer dans l’Eglise, qui voit en elle son image originelle» {«Figaro», 28 déc. 1964).
Le dogme romain: Dans son livre récent sur l’Unité, le cardinal Béa répète des dizaines de fois: 1°) que l’enseignement romain, étant infaillible, ne saurait subir dans son essence aucune modification; 2°) que l’Eglise catholique étant la seule vraie Eglise du Christ, l’unité finale ne peut être envisagée que par le retour de tous les baptisés orthodoxes et protestants au bercail du successeur de saint Pierre. Ce caractère intangible du dogme catholique n’a cessé d’être proclamé clairement par Jean XXIII, Paul VI et tous les porte-parole de Rome. Le professeur E. Schlink, observateur de l’Eglise Evangélique d’Allemagne à Vatican Il, après avoir noté que les délibérations conciliaires sont « révolutionnaires» pour l’Eglise romaine, ajoute: «Aucune des resolutions jusqu’ici adoptées n’a «rapporté, modifié ou même réinterprété de manière satisfaisante un seul des dogmes qui divisent la chrétienté » (S. CE. P. I., 17 déc.1964).
Cela n’a pas empêché le professeur de théologie protestant O. Cullmann de déclarer que Vatican Il «n’a fermé aucune porte ». Dans une interview accordée au journal «Le Monde », M. Cullmann reconnaît que les textes élaborés au Concile sont décevants, car la plupart sont des textes de compromis. Le Concile actuel est lié par celui du Vatican I (en 1870, où fut proclamée l’infallibilité pontificale), et par les dogmes mariaux antérieurs, inchangeables eux aussi. Mais il ajoute: «Je ne partage pas le pessimisme de certains qui s’exprime dans ce slogan: «II ne sortira rien de ce Concile! » Tous les textes sont formulés de telle sorte qu’aucune porte n’est fermée, et qu’ils ne seront pas un obstacle à la future discussion entre catholiques ni au dialogue avec les non-catholiques, comme le sont les décisions des Conciles antérieurs » (cité par «Vie Protestante », 23 oct. 1964). -Puisque les dogmes romains sont infaillibles (voir les anathèmes du Concile de Trente), on se demande sur quoi porte la discussion. ..Si la porte n’est pas fermée, elle ne l’est qu’à sens unique et ne nous paraît conduire qu’au bercail de saint Pierre.
- Edité par Pache René
- #Vie pratique
«Dieu ne nous a pas donné un esprit de timidité, mais de force, d’amour e! de prudence.»
Timide = qui manque de hardiesse et d’assurance, dit le dictionnaire. Dieu, en vue du but qu’il s’est proposé, nous a adressé une «VOCATION SAINTE», et pour cette vocation, il nous revêt:
de force – par quoi nous devons comprendre force de caractère, maîtrise de soi, tranquillité d’esprit, toutes choses qui sont contraires à la timidité. Une stabilité nouvelle, créée par le Saint-Esprit de Dieu qui nous donne l’assurance du salut; un contrôle de soi-même qui peut ne pas être naturel, mais qui est le résultat du travail de cet Esprit.
d’amour – de compréhension, de compassion, de pardon, amour qui n’est pas mollesse, ni faiblesse, mais qui prend part aux malheurs du prochain, qui comprend le pécheur et repousse le péché.
de prudence – mieux encore discipline personnelle, d’intelligence avertie, de jugement balancé, nuancé, sans laisser-aller.
Etes-vous craintif de nature, manquez-vous d’assurance, avez-vous ce qu’on appelle un complexe d’infériorité, craignez-vous de vous affirmer? Lisez les lettres à Timothée. C’était un timide de nature, et l’apôtre l’encouragea. Notez ceci: Dieu DONNE UN AUTRE ESPRIT que celui que vous aviez précédemment. Il donne gratuitement. Alors, demandez, priez. Il vous DONNERA.- Edité par Promesses
- #Eglise
Le but de nos études est de faire connaître et comprendre (Ps. 82, 5) les pensées de Dieu révélées dans sa Parole, afin de vivre dans la lumière. Dans un monde où Satan règne pour obscurcir la vérité, voire même la cacher, il importe que le juste – sauvé par la foi en Jésus-Christ – connaisse «les fondements» de la vérité divine.
Les lignes suivantes ne veulent être qu’un canevas de «la saine doctrine», telle que la Parole de Dieu nous la montre. Cet enseignement est à la fois christologique (Matth. 7, 28; 1 Cor. 2, 1-2) et apostolique (Act. 2, 42) ; il comprend l’ensemble des vérités divines.
I L’INSPIRATION VERBALE DE LA BIBLE
La pierre de touche de tout ce qui suit est la doctrine de l’inspiration des Ecritures. «Toute Ecriture est inspirée de Dieu» (2 Tim. 3, 16). Nous possédons aujourd’hui suffisamment de preuves, devant lesquelles tout homme sincère doit s’incliner. La Bible est la révélation de Dieu à l’égard de l’homme. Ce n’est pas un livre ecclésiastique quelconque, ni un ouvrage symbolique ou philosophique. C’est simplement «la Parole de Dieu» qui ne se laisse pas discuter. Des hommes de Dieu, poussés par l’Esprit, rédigèrent les 66 livres de cette divine Bibliothèque (2 Pi. 1, 21 ). Tout en gardant leur caractère et leur personnalité, ils furent de simples véhicules utilisés pour transmettre intégralement les pensées divines. C’est un miracle et un miracle ne s’explique pas. On peut l’accepter ou le rejeter; mais le fait est là.
Il LA TRINITÉ DE DIEU
Il en est de ce terme comme d’autres: la doctrine de la trinité de Dieu se trouve clairement révélée dans la Bible, bien que cette expression n’y soit pas mentionnée. Lucien déjà, rhéteur et philosophe grec du 2me siècle, fait confesser le chrétien dans son «Philopatris»: «le Dieu exalté …Fils du Père, Esprit procédant du Père, l’Un d’entre les Trois et Trois d’entre Un.» Le terme même fut employé formellement pour la première fois lors du synode en 317 à Alexandrie.
Cela ne signifie rien d’autres que tri-unité. La déité est une trinité, une unité qui possède 3 personnes distinctes ayant la même vie et la même essence.
L’ANCIEN TESTAMENT
Nous y voyons une révélation progressive qui trouve sa complète manifestation dans le Nouveau Testament. Des allusions claires et sans équivoques devaient ouvrir les yeux des personnes pieuses du temps du Seigneur.
Gen. 1,1: «Au commencement Dieu.» Ce terme «ELOHIM» est au pluriel et Moïse l’emploie quelque 500 fois. A remarquer qu’à chaque reprise le verbe qui l’accompagne est au singulier, ce qui prouve bien l’unité dans la pluralité des Personnes de la Déité.
Gen. 1,26: «Et Dieu dit: Faisons l’homme selon notre ressemblance»
Gen. 3, 22: «Voici l’homme est devenu comme l’un de nous»
Es. 48, 16: «Le Seigneur l’Eternel» – Dieu le Père
«m’a envoyé» – Dieu le Fils
«et son Esprit» -Dieu le Saint-Esprit
Zach. 12, 10: «Et je répandrai» -Dieu le Père
«un esprit de grâce» – Dieu le Saint-Esprit
«ils se lamenteront sur lui» -Dieu le Fils
LE NOUVEAU TESTAMENT
Il dévoile clairement cette vérité et nous confirme que la déité se compose de 3 Personnes: Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint- Esprit (Matth. 28, 19; Jean 1:1; Jean 5:3-4; Jean 8:54).
La trinité de Dieu est déjà engagée lors du baptême du Seigneur (Matth. 3, 13-17). On ne peut, à ce sujet, s’exprimer plus clairement que le Seigneur le faisait dans Jean 14:16-26: «Mais le Consolateur, l’Esprit-Saint (3ème Personne) que le Père (1ère Personne) enverra en mon nom (2ème Personne).»
La grande bénédiction apostolique nous laisse «la grâce du Seigneur Jésus-Christ», «l’amour de Dieu» et «la communion du Saint-Esprit» (2 Cor. 13, 13).
D’ailleurs, l’homme lui-même est une trinité composée de l’esprit, de l’âme et du corps. Il est attaqué par une autre trinité: le monde autour de lui, la chair en lui, et le diable au-dessous de lui. La loi du péché en lui est également représentée par une trinité:la convoitise de la chair, la convoitise des yeux et l’orgueil de la vie. Et, enfin, il peut être sauvé par la trinité divine: Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint-Esprit.
III JÉSUS-CHRIST
1. Sa Divinité
Jean 1, 1-3 suffirait pour établir cette vérité bénie:
Au commencement était la Parole» (le Verbe dans son existence éternelle)
cet la Parole était auprès de Dieu» (le Verbe dans son existence personnelle)
et la Parole était Dieu» (le Verbe dans son essence divine)
2. Son incarnation
Il est «Dieu manifesté en chair» (1 Tim. 3, 16). Ce mystère, dans lequel même les anges désirent plonger leurs regards, nous a été révélé. Les 7 degrés de son abnégation nous sont donnés en Phil. 2, 7-9. Aucune difficulté n’est inconnue du Seigneur qui a été tenté comme nous; Il peut donc nous accorder miséricorde et secours au moment opportun (Hébr. 4, 15-16). Ami qui souffres, confie-toi en Lui, car son nom est «Merveilleux».
3. Son CEuvre rédemptrice
Rom. 4, 25 dit: «Jésus, notre Sauveur, lequel a été livré pour nos fautes et a été ressuscité pour notre justification».
L’Ancien Testament y fait continuellement allusion (Ex. 12, Ps.22, Es.53).
Les Evangiles en sont la réalisation
Les Actes le proclament
Les Epîtres l’expliquent
L’Apocalypse, enfin, décrit la destruction de ceux qui ont rejeté cette oeuvre.
- Edité par Lüscher Henri
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