PROMESSES

« Grâces soient rendues à Dieu, qui nous fait toujours triompher en Christ, et qui répand par nous en tout lieu l’odeur de sa connaissance » (II Co. 2: 14).

SI LE GRAND VAINQUEUR VIT EN MOI, JE PARTAGE SA VICTOIRE :

(2 Co. 2: 14) « Jésus-Christ vit en vous » (2 Co. 13 : 5). « Christ vit en moi » (Ga. 2 : 20). « Christ en vous, l’espérance de la gloire » (Co. 1 : 27). « Grâces soient rendues à Dieu qui nous a fait toujours triompher EN CHRIST! » Etait-ce réservé à l’apôtre, cela ? NON! Nous pouvons aussi rendre grâces à Dieu pour cela! Dans ce verset (2 Co. 2: 14) il n’a pas écrit « ME », mais « NOUS ». – S’il avait mis « ME », nous dirions: « Oh! c’était l’apôtre Pau! » mais moi je ne suis pas l’apôtre Paul. Il a écrit le mot « nous » (Nous sommes compris dans ce « nous »,). Et le mot TOUJOURS ? C’est vrai… EN CHRIST !

« A CELUI QUI VAINCRA »     QUI EST VAINQUEUR ?

Lire Jean 20 : 31, puis 1 Jean 5 : 1, 4, 5 : « Quiconque croit que Jésus est le Christ est né de Dieu. tout ce qui est né de Dieu triomphe du monde, et la victoire qui triomphe du monde, C’EST NOTRE FOI. QUI EST CELUI QUI A TRIOMPHÉ DU MONDE, SINON CELUI QUI CROIT QUE JÉSUS EST LE FILS DE DIEU ? ». « A celui qui vaincra: Ap. 2 : 7 (il ira au ciel); 2 : 11 (il n’ira pas en enfer) – Ap. 2 : 17 – 2 : 26-27 – 3 : 5 – 3 : 12 -3 : 21 « Celui qui vaincra, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône, COMME MOI J’AI VAINCU et me suis assis avec mon Père sur son trône. – Ap. 21: 7.


Psaume 19

Les cieux en chaque lieu
De la gloire de Dieu
Enseignent les humains,
Et leur immensité
Proclame la beauté
De 1’oeuvre de ses mains.
Un jour à j’autre jour
Raconte son amour
Par longue expérience.
La nuit suivant la nuit
Nous prêche et nous instruit
De sa toute puissance.

Il n’y a nation
Ni population,
En tous temps, en tous lieux,
Qui n’écoute le son,
La manière et la façon
Du langage des cieux.
Et ce discours s’entend,
Cette leçon s’apprend
Jusqu’aux lointaines zones
Où Dieu a disposé
Un palais composé
Pour le soleil qui trône.

Dont il sort clair et beau
Comme un époux nouveau
En habit nuptial,
Un champion ardent
Qui court joyeusement
Vers le but, sans rival.
D’un bout des cieux il part,
Il atteint l’autre port
Le soir tant il va vite ;
De même il n’y a rien
En ce val terrien
Qui le craigne ou l’évite.

        * * *
Extrait de « Psaumes 1 à 50 »
Editions Pierre Viret, 1002 Lausanne