PROMESSES
7 aspects et résultats pour le chrétien de la croix de Christ dans l’épître aux Galates.
1. RÉDEMPTION: « Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous » (Gal. 3 : 13). « Dieu a envoyé Son Fils. .. afin qu’il rachetât ceux qui étaient sous la loi » (Gal. 4 : 4).
2. SUBSTITUTION: « Jésus-Christ s’est donné Lui-même pour nos péchés » (Gal. 1 : 4).
3. IDENTIFICATION: « Je suis crucifié avec Christ; et je ne vis plus moi, mais Christ vit en moi » (Gal. 2: 20).
4. EMANCIPATION: « La croix de notre Seigneur Jésus-Christ, par laquelle le monde est crucifié pour moi, comme moi je le suis pour le monde » (Gal. 6: 14).
5. SÉPARATION: « Ceux qui appartiennent à Christ ont crucifié la chair avec les passions et les convoitises. Si nous vivons par l’Esprit, marchons aussi par l’Esprit » (Gal. 5 : 24-25).
« Jésus-Christ s’est donné Lui-même pour nos péchés, afin de nous retirer de ce siècle mauvais » (Gal. 1 : 4).
6. PERSÉCUTION : « Ils vous contraignent à être circoncis, seulement dans Il but de ne pas être persécutés à cause de la croix de Christ. (Gal. 6 : 12)
7. GLORIFICATION: « Loin de moi de chercher ma gloire ailleurs que dans la croix de notre Seigneur Jésus-Christ »(Gal. 6 : 14).
En résumé, nous pouvons dire que la croix de Christ est la sûre base de toutes les bénédictions du croyant. Elle est le trait d’union entre Dieu et l’homme, le seul lieu où ils puissent se retrouver. Elle est aussi l’endroit où Sa justice et Son amour se sont rencontrés parfaitement en faveur de l’homme pécheur. La croix représente donc pour nous la mort de Christ à notre place et le salut de notre âme accompli une fois pour toutes en notre faveur par Jésus.
7 grands « Je sais » de la Bible.
1. CONVERSION: « Je sais une chose, c’est qu’avant j’étais aveugle et que maintenant je vois » (Jean 9 : 25).
2. CONSTATATION: la vieille nature mauvaise: « Je sais qu’en moi… il n’habite aucun bien » (Rom. 7 : 18).
3. DÉPENDANCE DE DIEU: « Je sais, Eternel, que la voie de l’homme ne dépend pas de lui et il n’est pas au pouvoir de l’homme qui marche de diriger ses pas » (Jér. 10: 23).
4. CERTITUDE DU SALUT: « Je sais que mon Rédempteur est vivant » (Jov 19: 25).
5. CERTITUDE DU BONHEUR POUR LE CROYANT: « Je sais, moi, que le bon heur est pour ceux qui craignent Dieu » (Ecc. 8: 12).
6. CERTITUDE DE LA TOUTE PUISSANCE DIVINE, RÉSULTAT DE L’ÉPREUVE : « Je sais que tu peux tout, et qu’il est impossible de faire obstacle à Tes desseins » (Job 42 : 2).
7. CERTITUDE FINALE, CONCLUSION D’UNE VIE DE CHRÉTIEN DEVANT LA MORT: « Je sais qui j’ai cru, et je suis persuadé qu’il a le pouvoir de garder mon dépôt jusqu’au grand jour » (2 Tim. 2 : 12).
Au sein d’une humanité inquiète, dans un monde où l’incertitude règne et ou l’homme se cherche lui-même, le chrétien sait d’où il vient et où il va. Le chrétien se meut dans une sphère de certitudes et témoigne de réalités qui demeurent éternellement.
- Edité par Beauverd Jacques
Une expression significative souvent employée par l’apôtre Paul. Elle jaillit spontanément de son coeur pour toutes les faveurs divines dont sa vie est comblée.
1. LA FOl EST PROCLAMÉE. – « Je rends grâces à mon Dieu de ce que votre foi est proclamée dans le monde entier » Rom. 1 : 8.
Car la foi n’est pas seulement la cause qui nous amène à Dieu; elle est aussi la grâce pénétrante qui amène Dieu dans la vie de chaque croyant.
2. UN CRI DE VICTOIRE. – « Grâces soient rendues à Dieu par Jésus-Christ notre Seigneur » Rom. 7 : 25.
Délivré du corps de cette mort, par le sang de la Croix, placé sous la loi de l’Esprit de vie, cela signifie « VICTOIRE ».
Le don gratuit de Dieu c’est la vie éternelle. Rom. 6 : 23.
3. UN ENRICHISSEMENT. – « Je ne cesse de rendre grâces à votre sujet, pour la grâce de Dieu qui vous a été donnée dans le Christ Jésus ». I Cor. 1 : 4.
Paul remercie pour les dons de l’Amour: le pardon, la réconciliation, l’adoption. C’est la bénédiction de l’Eternel qui enrichit. Prov. 10 : 22.
4. UNE PART RÉJOUISSANTE. – « Je rends grâces à mon Dieu à cause de votre attachement à l’Evangile ». Phil. 1 : 5.
Marie avait choisi la bonne part qui ne lui fut jamais ôtée: participation aux instructions du Maître; à ses souffrances, à ses combats. La Parole de Dieu s’est affermie. Jésus-Christ est à moi et je suis à Lui.
5. UN TROPHÉE DE VALEUR. – « Je rends grâces à Jésus-Christ de ce qu’il m’a jugé fidèle en m’établissant dans le ministère ». I Tim. 1 : 12. Celui qui s’est déclaré le « premier des pécheurs » est devenu un instrument de choix. Je puis tout par Celui qui me fortifie. Phil. 4 : 13.
6. UNE CONSCIENCE PURE. – « Je rends grâces à Dieu que je sers avec une conscience pure ». Il Tim. 2: 3.
Il en appelle à l’action spirituelle, à la louange et à l’adoration. Que celui qui est juste pratique encore la justice et que celui qui est saint se sanctifie encore. Apoc. 22: 11.
7. UN APPRECIABLE COLLABORATEUR. – « Je rends grâces à mon Dieu faisant mention de toi dans mes prières ». Philémon: 4.5.
Tout vrai serviteur de Dieu ne saurait avoir de plus grande joie que d’apprendre que ses enfants marchent dans la vérité. III Jean 4.
As-tu, toi mon ami, mon frère, rendu à Dieu tes actions de grâces pour tout ce qu’il EST, tout ce qu’il DONNE, tout ce qu’il FAIT ? Ou, ne s’est-il trouvé que cet étranger pour venir donner gloire à Dieu ? Luc 17: 18.
- Edité par Ferazzini Willy
Avez-vous l’impression que le christianisme est une religion triste ? Certes, c’est une chose sérieuse, car elle touche aux sources de la vie. Cherchons ce que nous dit la Bible. « Tu me rempliras de joie par ta présence » (Ps. 16: 11 et Act. 2: 28). « Que le Dieu de l’espérance vous remplisse de joie » (Rom. 15: 13). « Personne ne vous ravira votre joie » (Jean 16: 22). « Les fruits de l’Esprit sont l’amour, la joie, etc. »(Gal. 5: 22). « Vous vous réjouissez d’une joie ineffable et glorieuse, en remportant le prix de votre foi, le salut de vos âmes » (I Pi. 1 : 8-9). Et tant d’autres passages du Livre qui nous assurent du salut éternel par Jésus-Christ et de la joie paisible et tranquille qui en découle.
Le christianisme n’engendre pas une foi bruyante; il est fait de paix, de douceur, de maîtrise de soi. Dieu a créé l’homme avec de multiples capacités et la connaissance du salut ne les supprime pas. Au contraire, bien comprises, elles sont plutôt magnifiées, mises en évidence. Dieu a rempli la nature de choses magnifiques à découvrir, à expérimenter. Courir la campagne, escalader la montagne, descendre une rivière en bateau, admirer un lever ou un coucher de soleil, s’instruire en lisant, que de merveilles à apprécier, à estimer.
En ce qui concerne le chrétien, Dieu peut aussi être honoré par sa vie sociale et de délassement. « Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint-Esprit ? »(I Cor. 6: 19). Nous devons en prendre soin. Pour ceux qui ont un travail de bureau, d’usine, un certain exercice physique est nécessaire pour assurer une bonne santé. Les exigences varient beaucoup de contrée à contrée, mais il existe quantité de jeux qui n’ont rien à voir avec les religions païennes, avec l’occultisme, et que l’on peut pratiquer sans arrière-pensée.
Laissons de côté l’idée que le chrétien doit éviter tout ce qui peut rendre la vie agréable. Le chrétien, assuré du salut éternel, a le coeur tranquille et joyeux. De plus, c’est bien le chrétien souriant qui attirera son prochain au Christ. La sagesse de sa vie consistera à savoir ce qu’il faut faire avec Christ et non ce qu’il faut abandonner.
Il est bon de se rappeler que le diable est le père du mensonge et qu’il est fort habile à contrefaire la vérité. Il a semé la route de plaisirs mortels pour vous éloigner des plaisirs que Dieu vous offre. Vous pouvez reconnaître sa tactique: ce qu’il vous propose est léger, frivole, dégradant quant au corps, avilissant quant à l’intelligence, coupable quant à l’âme. Se moquant de Dieu, du mariage, de la chasteté, de la vertu, de la justice, et nous en passons, il propose des amusements qui n’ont, cela va sans dire, aucune place dans la vie de ceux qui suivent Christ.
Dieu nous donne quelques points de repère pour les cas douteux :
Puis-je faire ceci pour la gloire de Dieu ?
Et cela au nom de Christ ?
Sera-t-il honoré par ma participation ?
Serais-je en un cas donné une occasion de chute ?
Mes amis, qui m’observent, vont-ils croire que mon amour pour le Seigneur baisse ?
Dieu répondra à ma prière, si je suis honnête. Il faut aussi le dire, dans la plupart des cas, je connaissais bien la réponse avant de demander..!
Renversons maintenant le char et posons la question d’un point de vue positif :
Y a-t-il à tel jeu ou amusement quelque chose de bon ?
Mon expérience chrétienne va-t-elle être enrichie ?
Ma vie de prière va-t-elle être renouvelée ?
Ma communion avec le Seigneur sera-t-elle plus intime ?
Serai-je, de ce fait, un chrétien plus joyeux, plus hardi, plus confiant ?
Ma vie sera-t-elle plus riche en Dieu ?
Une dernière question: Voulez-vous LUI faire confiance pour ce qui concerne le côté loisirs de votre vie ?
- Edité par Promesses
Pourquoi l’idée de la CREATION de notre univers est-elle si peu agréable à la pensée de la plupart des hommes de science d’aujourd’hui ? Tout d’abord, bien des phénomènes, surnaturels aux yeux de nos ancêtres, ont été, depuis, expliqués et trouvés basés sur des faits parfaitement naturels. Cependant, cela ne doit pas nous engager à exagérer et à admettre que tout phénomène peut ainsi être expliqué d’après des bases purement matérielles. C’est pourtant ce qui est arrivé.
Le pendule est allé trop loin,
en biologie, dans la direction d’un pur matérialisme. Secondement, un homme de science ne peut admettre d’avoir affaire avec l’impondérable, avec un Dieu qui peut faire ce qu’Il veut, et que l’on ne peut ni examiner, ni sonder. En science, on aime à expliquer toute chose sur la base de lois naturelles connues. Cela étant, des scientifiques ont exploré d’innombrables possibilité! dans le but d’expliquer l’origine de la vie et de l’homme sur une base pure ment matérielle, dans les dimensions de temps et d’espace connues. En réitérées occasions, nous avons trouvé que l’explication fournie enfreignait, violait certaines lois de base concernant la matière et en particulier les lois de la thermodynamique. Si nous ne pouvons expliquer des choses sur la base des lois de notre monde à trois dimensions (quatre en comptant celle du temps) , pourquoi hésiter à introduire une autre dimension (surnaturelle), si l’on ne peut l’éviter ? Plutôt cela, que d’outrepasser, de violer les lois de la physique et de la chimie que nous connaissons !
Un architecte
Si nous voyons un plan, n’est-il pas raisonnable de penser à un architecte Il est clair pour nous que les disciples de Darwin renient justement ce point de la logique, en maintenant que la sélection naturelle et le hasard imitent l’apparence d’un plan, dans la nature vivante, mais sans un architecte. Darwin lui-même faisait régulièrement usage d’exemples d’adaptation pour démontre que, provenant, dérivant de sélections naturelles, il n’y avait aucun plan déterminé. Darwin ne voit ainsi, lors de cas d’adaptations dans l’ordre animal et végétal, aucun programme, aucune réalisation d’un but déterminé, tel que des causes finales (ou un Créateur) le demanderaient.
La nature non vivante
Si la sélection naturelle était en mesure de neutraliser, dans la nature vivante, la force de l’argument – la pensée demande un penseur – elle ne serait pas en mesure de neutraliser ce même argument dans la nature non vivante, ainsi dans la structure de la matière, par exemple. Car là, dans la matière non vivante, aucune sélection naturelle ou variation ne peut jouer de rôle. La nature non vivante occupe, dans l’univers, une place bien plus considérable que la nature vivante. Or, les darwinistes n’ont effleuré que fort peu ce problème, le rôle de la matière non vivante n’étant pas touché par les théories de Darwin. Ainsi l’argument que « la pensée nécessite un penseur » garde toute sa force concernant la nature non vivante.
Le chercheur honnête
Mais si nous ne pouvons trouver l’architecte dans notre monde à trois dimensions (ou quatre en comptant le temps) , alors l’architecte doit être cherché hors de nos quatre dimensions… Admettons qu’aucun homme de science n’aime cela. La méthode a souvent été prouvée comme étant fautive, lors de phénomènes simples! Vraiment nous devons prendre soin de sonder nos quatre dimensions, avant de chercher aide à l’extérieur, dans le but de trouver une explication convaincante de l’origine de la vie. Mais, pendant que nous sondons activement les dimensions qui nous sont connues, nous ne devrions pas fermer les yeux sur les possibilités entrevues hors de notre système de temps et de matière.
Ne partons pas avec des préjugés, des a priori. Le chercheur honnête est celui qui est préparé à regarder – et à trouver – dans toutes les avenues ouvertes à ses yeux et à ses oreilles.
- Edité par Wilder Smith A. E.
Maintenant fortifie-toi, peuple entier du pays, dit l’Eternel, et travaillez, car je suis avec vous. Aggée 2 : 4-5.
1. -Une promesse rassurante !
Je suis avec vous. ..Phil. 4: 13 – Jean 15: 5
2. -Un commandement inspirateur !
Fortifie-toi …Ephésiens 6 : 10.
3. -Un noble but !
Travaillez. ..Juges 6 : 14.
Voici ce que Dieu déclare :
« Je reste fidèle à l’alliance que j’ai faite avec vous ».
- Edité par Ferazzini Willy
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