PROMESSES
1. Qu’est-ce que la cène?
C’est un repas (du latin «cena» = repas) que le Seigneur Jésus prit avec ses apôtres, le soir précédant la croix, au cours du souper de la Pâque. Mat 26.26- 29, Marc 14.22-25 et Luc 22.14-20 nous rapportent les paroles prononcées par le Seigneur dans cette circonstance.
Cette institution, faite en présence des douze apôtres, a été révélée plus tard à Paul: Car moi, j’ai reçu du Seigneur ce que je vous ai transmis. Le Seigneur, dans la nuit où il fut livré, prit du pain et, après avoir rendu grâces, le rompit et dit: Ceci est mon corps, qui est pour vous; faites ceci en mémoire de moi. De même, après avoir soupé, il prit la coupe et dit: Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang: faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez. Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu ‘il vienne (1 Cor 11.23-26).
En tenant compte du contexte, nous constatons que Paul justifie les reproches qu’il fait aux Corinthiens pour leur attitude pendant le repas: Ce que je ne loue pas, c’est que vous vous assemblez, non pour devenir meilleurs, mais pour devenir pires (1 Cor 11.17). Paul accentue le je en disant au v. 23: j’ai reçu ce que je vous ai transmis, ce qui donne tout son poids à la suite du texte.
Lorsque le Seigneur dit: ceci est mon corps… ceci est mon sang…, il est clair que le pain n’était pas son corps, ni le contenu de la coupe, son sang; ils en étaient une représentation. C’est pourquoi nous disons que le pain et la coupe sont des symboles.
Or, un symbole est un signe, une représentation; par exemple, le drapeau est le symbole de la patrie; la balance est celui de la justice. C’est le sens du terme «symbole», consacré par l’usage.
2. Un ordre du Seigneur
Le Seigneur dit: Faites ceci en mémoire de moi. C’est donc un ordre de se souvenir de lui, de son sacrifice, de son corps meurtri, et du sang par lequel il a signé la nouvelle alliance. Pourquoi en mémoire de lui? Parce que, lorsque nous le faisons, nous concrétisons l’annonce de sa mort, et ce jusqu’à ce qu’il vienne. C’est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la coupe indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur (i Cor 11.27).
3. Participation indigne
Dans le verset précité, le mot capital est: indignement. Ce mot est souvent mal compris, même dans nos milieux évangéliques. Parle-t-il de l’indignité de celui qui participera à la cène? Arrêtons-nous et interrogeons-nous: suis-je jamais digne? digne d’apporter quelque chose de parfait, qui puisse être agréé par le Seigneur? De nombreux textes bibliques ne nous disent-ils pas, qu’au contraire, nous sommes indignes par nous-mêmes, notre dignité, lorsqu’elle est reconnue, étant un don du Seigneur (2 Thes 1.5,11)? Personnellement, nous ne sommes pas dignes de recevoir le pardon et le salut de Dieu; autrement, le pardon serait un dû, et la grâce ne serait plus une grâce. Il ne s’agit donc pas ici d’être digne ou indigne, mais d’agir dignement ou indignement. La suite du texte le prouve: celui qui mange et boit sans discerner le corps du Seigneur… Voilà ce qui doit être fait d’une manière digne: manger le pain et boire la coupe.
Comment peut-on manger et boire en discernant le corps du Seigneur? Discerner signifie distinguer son corps, donc reconnaître que le pain et la coupe représentent et rappellent le sacrifice de son corps. C’est aussi discerner que le corps de Jésus est celui du Fils de Dieu. celui de Dieu devenu homme ayant une chair semblable à celle du péché (Rom 8.3), mais sans avoir jamais été souillé par le péché. Quand nous prenons la cène, nous regardons par la foi le corps de Jésus meurtri pour nous.
Mais son corps, c’est aussi l’Eglise: nous sommes le Corps de Christ. Nous discernons ce Corps en ses membres, en nos frères et soeurs, avec lesquels nous sommes unis en Christ et par Christ. La cène représente donc en même temps la communion avec le Christ, par le rappel de son sacrifice, et la communion des chrétiens entre eux.
Or, le texte nous dit que si nous ne discernons pas ces réalités, nous mangeons et buvons un jugement contre nous-mêmes.
4. Discipline personnelle
Pour éviter ce jugement, Paul donne le remède, par un ordre découlant de son raisonnement, que j’ai laissé en attente: Que chacun donc s’examine soi-même, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe (1 Cor 11.28). Puisque celui qui participe indignement à la cène est coupable, chacun doit donc s examiner lui-même, s’éprouver lui-même. C’est la condition pour participer à la cène selon la pensée de Dieu.
L’examen de soi a aussi pour but de nous faire découvrir un éventuel péché dans lequel nous aurions persisté. Car en nous examinant, nous découvrons souvent des erreurs et des fautes. Nous devons les reconnaître, nous repentir et nous engager à nous corriger. A celui qui s’est de telle sorte examiné lui-même, Paul ordonne: qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe. Il s’ensuit que:
– Si nous ne nous examinons pas, nous désobéissons à l’ordre de s’éprouver soi-même.
– Si nous nous reconnaissons pécheurs, mais ne le confessons pas en demandant le pardon du Seigneur, et le cas échéant celui de nos frères, nous sommes comme celui qui s’est regardé dans un miroir et qui oublie aussitôt comment il est (Jac 1.24).
– Si, après nous être examinés, nous nous abstenons parce que nous constatons que d’autres, à notre avis, prennent la cène indignement, nous désobéissons à l’ordre: que chacun s’éprouve soi-même. Il est écrit: «soi-même» et non «les autres». D’ailleurs, qui sommes-nous et que sommes-nous pour éprouver et pour juger les autres?
Dans ce contexte, il faut citer un verset mal compris dans bien des cas: Je ne veux pas que vous soyez en communion avec les démons. Vous ne pouvez boire la coupe du Seigneur et la coupe des démons; vous ne pouvez avoir part à la table du Seigneur et à la table des démons (1 Cor 10.20b-21). Certains chrétiens de Corinthe assistaient à des cérémonies dans les temples des idoles (1 Cor 8) et participaient ensuite à la cène. Paul les réprimande: il est impensable de participer à ces deux tables différentes. Il n’est pas question que la table du Seigneur se transforme en table des démons du fait de la participation indigne de certains, comme cela est quelquefois avancé.
5. Discipline du Seigneur
Le Seigneur exerce un jugement là où il l’estime nécessaire: c’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup de malades et d’infirmes, et qu’un assez grand nombre sont décédés (1 Cor 11.30). Il est question de ceux qui ne s’examinent pas et participent tout de même à la cène (v. 28-32).
Maladie, infirmité et mort peuvent être compris au sens figuré. Le mot traduit par «infirmes» est «asthenès» qui signifie sans force, asthénique. Le mot rendu par «malades» est «arrhostos»: qui n’a pas de vigueur, pas de résolution. Pour ceux qui sont décédés, le mot est «koimaomai»: je dors profondément. Notez la gradation: je suis sans force, je ne puis rien faire (je traîne la patte). Je n’ai plus de vigueur, je ne me résous plus à rien, je reste à la même place, assis sinon allongé. Et enfin, je dors profondément, je ne prends même plus part à une conversation, c’est comme si j’étais mort.
Paul donne ici une raison pourquoi beaucoup de chrétiens sont spirituellement sans forces (ne marchant que lentement), spirituellement sans vigueur, incapables de se tenir debout (n’avançant plus dans la vie chrétienne), et même spirituellement morts (apparemment sans vie spirituelle, dont la participation à la vie de leur église n’est guère plus qu’un rite sans vie).
Cependant, le sens propre est plus probable: beaucoup de Corinthiens étaient atteints d’infirmités, de maladies de toutes sortes, et certains même en étaient morts. Nous savons que la désobéissance à la volonté de Dieu peut entraîner des maux physiques pouvant aller jusqu’à la mort (1 Jean 5.16-17).
Ce texte nous permet de mieux comprendre l’état des Corinthiens et peut-être (souhaitons-le) notre propre état personnel, et celui de notre assemblée. Mais il ne suffit pas d’en prendre conscience, encore faut-il y porter remède. Décidons-nous, changeons de comportement, mais en commençant par le début, c’est-à-dire chacun pour soi-même.
Emile Rocteur
Note de la rédaction: Il va de soi que le non-chrétien, n’étant pas né de nouveau, ne peut apprécier la signification et la portée de la cène. Il est encore dans ses péchés et sous la condamnation de Dieu: en prenant la cène, il ne fait qu’ajouter un péché de plus. Seul un chrétien né de l’Esprit peut prendre la cène dignement.
- Edité par Rocteur Emile
J’aimerais vous informer d’un fait qui, pour n’être pas tout récent, peut encore vous porter secours aujourd’hui. Au début de l’été 1953. une terrible catastrophe aérienne a été évitée de justesse à Genève. Voici le récit d’un des passagers:
«Arrivant de l’Etat d’Israël, nous devions atterrir à Genève, mais pour une raison que nous ignorions, nous décrivions de grands cercles au-dessus de l’aéroport de Cointrin… Dix minutes, vingt minutes, trente minutes s ‘écoulèrent ainsi. Nous nous demandions pourquoi le capitaine ne posait pas son appareil au sol. Quarante minutes… Notre anxiété augmentait. Nous désirions savoir ce qui pouvait bien empêcher notre avion d’atterrir.., quand nous entendîmes la voix du capitaine dans le haut-parleur:
– Passagers, je ne veux pas vous alarmer; cependant j’ai une mauvaise nouvelle à vous communiquer. Je ne puis abaisser le train d’atterrissage. C’est la raison pour laquelle j’ai survolé si longtemps la ville de Genève. Pendant ce temps j’ai déployé tous mes efforts pour faire descendre les roues, mais sans y parvenir. Il nous reste un seul espoir, c’est que l’instrument de contrôle n’ait pas fonctionné. Il indique que les roues ne sont pas abaissées, mais il est possible qu’elles le soient tout de même. J’ai demandé par radio au personnel de Cointrin de se tenir près de la piste d’atterrissage; je vais la survoler deux ou trois fois très bas et j’espère que, malgré l’obscurité, on pourra voir si les roues sont descendues ou non. Espérons que, tout à l’heure, je pourrai vous donner une bonne nouvelle.
L’avion survola deux ou trois fois la piste, puis nous entendîmes à nouveau la voix du capitaine à travers le haut-parleur:
– Passagers, les nouvelles ne sont pas bonnes. On nous répond malheureusement que les roues ne sont pas descendues. De plus, un membre de l’équipage a ouvert la petite porte du compartiment des bagages et, au moyen d’une lampe, il a constaté que cette indication était exacte. Il ne me reste qu’à faire un atterrissage sur le ventre de l’avion. Je ne puis rien vous promettre. Mais je ferai de mon mieux.
Le capitaine nous dit de regarder si nos ceintures de sécurité étaient bien fixées et de les abaisser le plus bas possible sur nos hanches.
– Repoussez en arrière le dossier de vos fauteuils et tenez-vous au siège qui est devant vous! ajouta-t-il encore.
En plus de ces précautions, de nombreux voyageurs prirent les oreillers qui se trouvaient sur les porte-bagages pour se protéger le visage lors du terrible choc auquel nous nous attendions.
-Tenez-vous prêts! dit le capitaine, je descends maintenant.
Il y avait plusieurs chrétiens dans l’avion et je leur criai:
-Supplions Dieu de venir à notre secours! Transformons cet avion en un lieu de prière sans nous occuper de ceux qui nous entourent ni de ce qu’ils pensent!
Nous nous mîmes à prier à haute voix. Pendant ce temps, un homme affolé détacha sa ceinture et courut le long du couloir pour s’asseoir finalement à l’endroit le plus dangereux, dans la partie antérieure de la cabine, entre les hélices. Représentez-vous la scène! Nous nous préparions à faire un atterrissage sur le ventre de l’appareil dans l’obscurité. Il v avait 60 passagers à bord, et, en plus, nos bagages et un volumineux courrier. Quatre moteurs en marche et une grosse réserve d’essence. Passagers, pilote et équipage, nous aurions tous pu être tués. Mais nous suppliions Dieu à haute voix de nous protéger tous. Et moins d’une minute après que nous nous soyons mis à prier, nous entendîmes à nouveau la voix du capitaine à travers le haut-parleur et il nous dit cette fois:
-Amis, j’ai une merveilleuse nouvelle! Les roues viennent de descendre à l’instant! Tout va bien!
Il avait survolé l’aéroport de Cointrin pendant trois quarts d’heure, essayant désespérément d’abaisser le train d’atterrissage et avait finalement abandonné tout espoir d’y parvenir, lorsque, soudain, Dieu exauça nos prières. Ma femme et moi dîmes:
-Merci, Seigneur Jésus, de ce que tu as répondu à nos prières!
Tout près de nous, de l’autre côté du couloir, un homme pleurait. Il vint vers nous, s’essuya les yeux et nous dit:
-Je n’ai jamais cru en Dieu, mais maintenant je crois en lui! Je crois qu’il vient de faire un miracle!
La stewardess, une jeune Française, s’approcha, elle aussi:
-Je vous remercie de ce que vous avez fait. Je n’y comprends pas grand-chose, mais je vous ai entendus dire ces prières et je vous en remercie.
Au moment de l’atterrissage, je regardais par la fenêtre et je vis des ambulances et des pompiers alignés le long de la piste. De toute évidence, on s’était attendu à une terrible tragédie. Loué soit Dieu pour la bonté et la fidélité avec lesquelles il répond à nos prières!»
Cher ami, tu peux, toi aussi, crier à Dieu dans toutes tes détresses, car il nous dit dans la Bible: Invoque-moi au jour de la détresse; je te délivrerai et tu me glorifieras (Ps 50.15). Il peut guérir tes maladies, te secourir dans les difficultés morales et matérielles que tu affrontes chaque jour. – Et, si tu as le bonheur de jouir d’une bonne santé, si tes affaires sont prospères, si tu es relativement satisfait de ton sort, as-tu pensé à en remercier Dieu? – Au fait, cher lecteur, pourquoi es-tu si prompt à rechercher le secours divin quand tout va mal et à oublier ton Créateur quand tout va bien?
Les passagers chrétiens de cet avion pensaient qu’on ne puisse prier que dans une église. Ils ont fait, au contraire, l’expérience qu’on peut s’adresser à lui n’importe où et n’importe quand. Cher ami, tu peux prier maintenant même, dans ta chambre de malade, dans ton salon, dans ta voiture, dans ta cabine en mer. Agenouille-toi donc et confie au Seigneur tes peines et tes joies et tu réaliseras qu’il est toujours prêt à répondre à tes appels. Tu as remarqué probablement que ces voyageurs n’ont pas récité des prières apprises par coeur, mais qu’ils ont parlé à Dieu en toute simplicité, comme à un père qui les aimait, qui connaissait leur détresse et pouvait les secourir.
Tu me diras peut-être que tu n’oses pas l’importuner en lui demandant d’intervenir dans les petites difficultés de ta vie quotidienne. Mais écoute cette parole du Nouveau Testament: En toutes choses (sous-entendu les petites et les grandes) faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications avec des actions de grâces (Phil 4.6). N’hésite donc plus à te décharger sur lui de tout ce qui te préoccupe! Dieu prouve sa grandeur en intervenant dans les détails mêmes de nos vies.
Ces voyageurs n’ont pas supplié tel ou tel saint ou la vierge Marie d’intercéder en leur faveur auprès de Jésus-Christ. Ils ont crié à lui directement. La Bible affirme en effet qu’il est le seul Médiateur entre Dieu et les hommes. Ecoutez ce texte biblique: Il y a un seul Médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme, qui s’est donné lui-même en rançon pour tous (1 Tim 2.5).
Lecteur, comme l’enseignent les Saintes Ecritures et comme l’ont fait ces hommes et ces femmes, adresse tes prières à Dieu au nom de Jésus-Christ lui seul!
J’aimerais encore souligner un fait qui me paraît très important. Ces passagers se sont unis pour crier à Dieu. Ils connaissaient la promesse du Seigneur: Si deux d’entre vous s’accordent pour demander une chose quelconque, elle leur sera accordée par mon Père qui est dans les cieux (Mat. 18.19). C’est pour cette raison que nous vous invitons à nous écrire pour que nous puissions présenter avec vous vos requêtes à Dieu.
Quelqu’un pourrait avec raison rappeler telle catastrophe au cours de laquelle de nombreuses personnes ont sans doute crié à Dieu sans être exaucées. Je n’ai pas le temps d’aborder ici ce problème si grave. Nous ne connaissons d’ailleurs pas toutes les raisons pour lesquelles certaines prières n’ont pas reçu l’exaucement désiré. Mais permets-moi de te dire, cher ami, que la prière n’est pas une formule magique. Elle est régie par certaines lois mentionnées dans la Bible. Dieu n’a jamais promis d’exaucer n’importe quelle prière.
Quelqu’un pense peut-être que Dieu a bien pu répondre aux requêtes des chrétiens qui étaient dans l’avion mais que lui, un trop grand pécheur, n’oserait pas s’adresser au Maître de l’univers, Ecoute donc cette parole biblique si réconfortante: Dieu est attentif à la prière du misérable, il l’écoute quand il crie à lui (Ps 22.25). D’une façon générale, Dieu a promis de répondre aux supplications de ceux qui se repentent sincèrement de leurs fautes, qui veulent changer de vie, qui lui demandent de pardonner leurs péchés au nom de son Fils mort à leur place au Calvaire, de ceux qui acceptent son pardon par un acte de foi et ont résolu de vivre désormais selon les enseignements de la Bible.
J’ai un dernier mot pour toi, cher lecteur, qui vis tranquillement, sans grandes épreuves, avec un tantinet d’égoïsme. Tu n’éprouves pas le besoin de prier. Tu ne saurais d’ailleurs pas très bien que demander. Tu es, plus ou moins, satisfait de ton sort. Et tu es probablement satisfait de toi-même. Mais tu ne sais pas que tu cours un danger terrible. Tes fautes passées t’accusent et tu ne t’en rends pas compte… Ton péché te sépare de Dieu et tu n’en es pas conscient. Tu marches vers la mort et le jugement et tu ne t’y es pas préparé… Tu es perdu pour l’éternité malgré ton vernis de religion et d’honnêteté parce que tu n’as jamais demandé à Dieu sa grâce. Tu n’as pas mis ta confiance en Jésus pour qu’il devienne ton Sauveur. Pour l’amour de Dieu, pour l’amour de ton âme, supplie Dieu de pardonner tes fautes maintenant même au nom de son Fils Jésus-Christ. Car il est écrit: Quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé (Act 2.21).
Ernest Lorenz
Tiré de «Sens Unique», avec autorisation
- Edité par Lorenz Ernest
Articles par sujet
abonnez vous ...
Recevez chaque trimestre l’édition imprimée de Promesses, revue de réflexion biblique trimestrielle qui paraît depuis 1967.