PROMESSES
Cet état est caractérisé par un intérêt suprême des choses immatérielles et invisibles.
Celui qui est mû – animé – par une telle pensée sert le Créateur et non la créature ; il compte sur Lui pour recevoir vision et force ; Il est plus préoccupé des qualités morales que des circonstances matérielles;
il vit dans le présent, mais à la lumière de l’éternité.
(Extrait)
- Edité par Promesses
La valeur du sang
- Pourquoi Dieu met-il tant l’accent sur la vie ?
- Pourquoi Dieu a-t-il basé l’expiation sur le sang d’une victime ?
- Pourquoi Dieu défend-il de manger le sang ?
- Pourquoi Dieu a-t-il émis une loi si stricte ?
Dieu, qui a créé l’homme, lui a accordé une belle intelligence et de ce fait la capacité de comprendre ses oeuvres et ses lois. Lorsqu’il ordonna à Israël d’offrir des sacrifices sanglants, il en expliqua le motif et la valeur (Lé. 17). Précédemment, Dieu avait donné l’ordre de ne pas manger de chair avec son sang, car, dit-il, le sang est la vie de la chair. Cette interdiction de manger le sang est répétée sept fois dans les livres de Moïse. Israël devait en être exactement informé, car il avait l’obligation de maintenir et d’observer les lois de Dieu. Cette loi est de première importance aux yeux de Dieu; mais à ce moment-là les autres nations l’avaient depuis longtemps délaissée. Il était écrit en toutes lettres que « je (Dieu) tournerai ma face contre celui qui mange le sang, et je le retrancherai du milieu de son peuple » (Lé. 17: 10). Et voici les versets qui suivent:
« Car la vie de la chair est dans le sang (11).
Car la vie de toute chair, c’est son sang qui est en elle,
Car la vie de toute chair, c’est son sang » (14).
Après quelques millénaires de recherches, les hommes ont découvert qu’en effet le sang et la vie sont inséparables. De même, il semble bien qu’il y a quelque réalité physique dans le fait que le sauvage qui buvait le sang de son ennemi devenait en quelque sorte le détenteur de sa vigueur et de son courage. La transfusion sanguine est une preuve de plus que le sang et la vie sont un.
Quand, certaine nuit d’Egypte, le sang fut répandu sur les linteaux des portes du peuple israélite, il fut bien certain que la mort avait passé dans tous les foyers pour procurer une telle masse de sang ! Ainsi la sentence de mort avait été prononcée et le jugement exécuté. La justice divine était satisfaite ! Dans toutes les maisons de l’Egypte, la mort avait fait son oeuvre. Mais par la foi, le peuple d’Israël avait été épargné.
Pour cela, il était donc de toute nécessité que la preuve de la mort du substitut présenté par Dieu fût apportée et cela d’une manière incontestable. Sans une certitude positive de ce fait, on ne saurait être certain du paiement de la dette.
Les récits de la crucifixion apportent des preuves distinctes et précises de la mort de Christ; elles ne laissent pas place à des suppositions qu’il serait tombé dans le coma et aurait été emporté, apparemment mort, au tombeau. Si cela avait été le cas, il n’y aurait ni mort expiatoire, ni résurrection apportant la vie.
Les détails donnés dans la Bible excluent cette notion:
Au moment de sa mort, le Seigneur Jésus était un homme solide et pleinement conscient, car il « cria d’une voix forte » (Mt. 27: 50: Mc. 15: 37; Luc 23: 46).
Il remit son esprit au Père par un acte de sa propre volonté, disant: « Père, entre tes mains Je remets mon esprit » (mêmes références).
Et, « baissant la tête, il rendit l’esprit ». Sa tête ne s’affaissa pas, comme s’il s’évanouissait (Jean 19 : 30). En voyant le Crucifié abaisser sa tête, le centenier fut convaincu que cette mort présentait un fait surnaturel. Souvent la mort avait passé devant ses yeux, mais Jamais de semblable façon (Marc 15 : 39).
La preuve finale de la mort du Sauveur a été apportée lorsque le soldat perça son côté et que du sang et de l’eau s’en écoulèrent (Jean 19 : 34). Jean affirme avec force qu’il a vu ce fait de ses yeux et qu’il en a été témoin. Plus tard, dans son épître (I Jean 5: 6), il renouvela son explication, disant : « C’est lui, Jésus-Christ, qui est venu avec de l’eau et du sang ».
Il va sans dire que Dieu, qui est omniscient, n’avait pas besoin qu’on lui apportât une preuve que des agneaux avaient été mis à mort dans les maisons des Israélites, et que, d’autre part, Jésus fût réellement mort. Jésus lui avait remis son esprit, et sans esprit, la vie de l’homme ne peut être maintenue.
Mais il est un fait dont nous ne nous rendons pas suffisamment compte. Le Créateur de l’univers administre et dirige sa création sous l’oeil critique d’hommes et d’anges, et une bonne part des uns et des autres sont ses ennemis. Il ne doit se trouver dans son gouvernement aucun motif de la part de ses créatures de trouver autre chose qu’une parfaite justice.
L’homme naturel, ainsi que les anges « qui ont abandonné leur premier état » (qui se sont détournés de Dieu), sont prompts à s’insurger contre le Créateur. C’est ce que fit Adam. A peine tombé, il suggéra que Dieu était à blâmer: La femme que tu m’as donnée m’a conduit hors du bon chemin ! (Ge. 3:12). Ses descendants sont toujours empressés à accuser le Tout-puissant quant à la direction de ses affaires. Satan n’hésite pas à prétendre que Dieu avait favorisé Job outre mesure, lui rendant la vie trop agréable (Job 1: 9-11).
En particulier, il ne faut laisser à Satan aucune occasion de se plaindre ou d’intervenir, lorsqu’un homme est retiré de sa sphère d’action, lors d’une conversion à Dieu et à Christ. En effet, selon Hébreux 2 : 14, il est (le Diable) celui qui avait le pouvoir de la mort ». Il posséde encore certains droits que Dieu ne lui a pas retirés. Mais à la croix, Christ a vaincu celui par qui la mort est entrée dans le monde. Virtuellement, ce jour-là, il a aboli la mort, même si, et nous le constatons, elle reste un fait jusqu’au jour où Christ viendra prendre en mains direction la de son Royaume.
En Egypte, le sang sur les portes apportait la preuve que la sentence avait été prononcée et le jugement exécuté. Ainsi, le Destructeur n’a aucun droit de s’interposer, car
Dieu a estimé la valeur du sang divin de son Fils à un prix qui surpasse le montant de la dette de tous les hommes, dette envers Dieu. Ainsi à cause de cette mort et de ce sang répandu, Christ a rendu nulle la puissance de Satan sur la race humaine. Ceux qui croient en Christ qui mettent leur confiance en Lui, sont « délivrés de la crainte de la mort » (I Th. 4:14). Le sang de la victime – Christ – est la preuve de sa mort et par conséquent de la punition réelle du péché. L’exécution publique sur la Croix lui permet ainsi d’être proclamé notre garant, notre garantie envers Dieu le Père.
Le sang répandu sur la terre, aux yeux de nombreux témoins, est la preuve de la mort de Christ. Sa mort nous délivre – nous croyants -de la mort et nous avons part à la vie éternelle.
- Edité par Guignard René H.
Question No 4:
Pourquoi tant de souffrances sur la terre ?
Lors d’un récent entretien sur l’existence de Dieu, une Jeune étudiante me posa cette question : « Pourquoi tant de souffrances sur la terre ? » Le mystère de la souffrance ne peut être élucidé entièrement par l’intelligence limitée de l’homme. L’athéisme et l’agnosticisme se servent Justement de ce problème pour défendre leur philosophie. Toutefois, la science et l’histoire authentiques ont amplement prouvé l’existence de Dieu, et il n’y a que « l’insensé qui dit en son coeur: plus de Dieu » (Ps. 14: 1). Son argument est, si Dieu est amour, pourquoi permet-il les guerres, les atrocités, les tribulations ? Il n’existe pas ou il est impuissant ou indifférent, « L’omnipotence, l’amour et la justice de Dieu sont des anachronismes par rapport aux souffrances », pense-t-il.
1. Comment ne pas être sensibles aux souffrances dans l’univers !Jésus lui-même n’a-t-il pas compati profondément avec ceux qui souffraient ! La Bible nous exhorte à porter aide et réconfort aux souffrants. C’est un des aspects du commandement divin « d’aimer notre prochain comme nous-mêmes » (Mt. 12 : 39).
2. Dieu est le centre de l’univers, et non pas l’homme.Il a créé toutes choses, et c’est par sa volonté qu’elles existent et qu’elles ont été créées (Apoc. 4:11). Notre conception du bonheur est limitée et centrée sur le présent. Mais les souffrances n’ont-elles finalement pas un but qui dépasse l’espace et le temps ? Comment concilier l’amour, la justice et l’omnipotence de Dieu ? Ne peut-il empêcher le mal ?
L’univers a été créé par Dieu et pour Lui en Jésus-Christ (Col. 1 :16-17). Cela implique un plan extraordinaire que Dieu veut réaliser avec sa création. L’homme et les anges sont des êtres qui furent créés libres. L’omnipotence (toute-puissance) et l’amour de Dieu présidaient lors de la création tout entière.
Pourtant, il y a des lois naturelles qui ne semblent pas obéir actuellement à la bonté de Dieu. Cataclysmes, guerres, maladies, etc., tuent des milliers d’êtres humains chaque année. Et c’est précisément ici que toute la somme des souffrances humaines doit avoir une portée au-delà de l’espace et du temps, s’insérant dans ce plan divin. Dieu pense et agit avec d’autres dimensions qui échappent à nos conceptions. En plus, il est logique, raisonnable et moral de penser à une Justice divine qui triomphera un jour.
Il en est de même avec l’amour de Dieu pour les hommes basé sur leur libre consentement. Cet amour ne leur est pas imposé. Ils sont libres de répondre à l’appel divin.
Dieu a créé l’univers parfait. Le conflit entre le mal et le bien débute par la rébellion de Lucifer, chérubin oint (Es. 14:12-14; Ez. 28:141 15). Celui-ci entraîna une partie des anges dans la chute (2 Pi. 2: 4 Ap. 12 : 9). Il séduisît aussi Eve dans le jardin d’Eden qui à son tour entraîna son mari dans la désobéissance. Ce fut la chute de l’homme (Cen. 3: 14-19) qui est à l’origine des souffrances. Par un acte de libre volonté, l’homme avait cédé à la sollicitation du diable de se rebeller contre Dieu.
Le péché, c’est la désobéissance à Dieu et l’orgueil, l’égocentrisme et une marche dans une totale indépendance du Créateur. Le péché n’était pas dans l’homme lorsqu’il fut créé. Il n’est pas survenu non plus par décret divin, mais par un acte de libre choix de la part de l’homme.
Tous les hommes sont désormais soumis à la loi du péché (Rom. 7: 23) et de la mort (Rom. 5: 12; 6: 23). Tous les hommes sont pécheurs. Nul n’est innocent (Rom. 3: 23). Le coeur enténébré, l’homme a commencé à se livrer à ses propres convoitises. Ainsi, les guerres, les crimes et d’autres atrocités dévoilent la dépravation de l’homme et son incapacité « d’aimer son prochain ». Bref, toute la création est souffrante et subit les conséquences de ce drame (Rom. 8: 21-22). A l’instar d’une bombe dévastant le chef-d’oeuvre architectural d’une ville, le péché délibérément introduit par Adam et Eve en Eden a gâté l’oeuvre parfaite de notre divin Architecte.
5. Mais Dieu n’est pas resté inactif.Il a dû chasser l’homme de ce beau jardin, sinon le Créateur n’aurait pas pu exécuter son plan d’amour selon sa volonté. Comme un jeune homme allant à la conquête du coeur de sa jeune fille élue, ainsi Dieu est venu à nous pour gagner le coeur de l’homme déchu. Il est allé jusqu’au sacrifice de son propre Fils, afin d’accomplir ses desseins d’amour. Les souffrances atroces du Fils de Dieu et sa mort ignomineuse à la Croix sont précisément une preuve de son amour et de sa justice. Parce que l’homme n’est pas un robot et parce qu’il avait été créé libre, les souffrances de notre Sauveur Jésus-Christ étaient indispensables pour que les vertus de Dieu soient pleinement manifestées. De ce fait, l’homme peut choisir de son propre gré le chemin de l’amour divin en passant par la repentance. Toutefois, son sort éternel est lié à son choix (Jean 3:16).
6. Dans cette optique, les souffrances prennent une toute autre dimension.Elles ne peuvent empêcher Dieu d’accomplir son plan grandiose: d’abord une terre libérée de ses souffrances et gouvernée en justice par le Messie pendant 1000 ans (Es. 11 :1-10; Rom. 8: 20-24; Ap. 20: 3), puis finalement par de nouveaux cieux et une nouvelle terre où Dieu habitera avec les hommes. Alors il essuiera toute larme causée par la souffrance (Apoc. 21:1-5; 2 Pi. 3:13).
Nous comprenons que les tribulations du temps présent concourent au bien de ceux qui aiment Dieu (Rom. 8 : 28). Dieu les permet dans le but de sauver l’homme, de le sanctifier et de l’amener à une connaissance toujours plus profonde de Jésus-Christ (Ro. 5 : 3-4; 8:18; Phil.3: 18).
En effet, Il aimerait amener les hommes à la repentance et au salut (Es. 25: 9; Job 33:12-26), car Il a des pensées de paix et non de mal pour nous donner un avenir et une espérance (Jé. 29: 11).
- Edité par Lüscher Henri
Une excellente petite brochure que vous pouvez donner à vos enfants, neveux et cousins dès l’âge de quatorze ans. Elle est aussi de toute valeur pour les adultes. Plus et mieux qu’un incroyant, le chrétien désire être heureux au cours de son mariage. Uni qu’il est à Christ, il sait qu’une telle union humaine doit être calquée sur l’union divine, celle du Fils de Dieu et de l’Eglise, laquelle est appelée dans la Bible son «Epouse».
« Heureux et béni au cours d’un mariage », c’est ce que l’auteur, M. A. E. Wilder Smith, a cherché à placer devant nos yeux – mais il ne cache pas ses difficultés.
Une jolie plaquette vendue à 2 fr. suisses (4 fr. fr. 16 fr. beiges) port compris. Pour vous éviter des frais, n’écrivez pas, mais adressez un mandat- poste ou bulletin directement au c. c. postal de Promesses en Belgique, France ou Suisse.
- Edité par Wilder Smith A. E.
Un livre
« UN DIEU D’AMOUR »
vous est très recommandé.
L’auteur cherche à apporter sa contribution à la question de la souffrance – dans un monde de souffrance.
Un auteur, C. S. Lewis, écrivait ceci :
« Pour l’homme, la souffrance est inéluctable ! Est-elle inutile. alors îl n’y a pas de Dieu, ou bien ne serait-il pas à la hau- teur ? Existe-t-il un Dieu compa- tissant ? Alors la souffrance est nécessaire ! »
Cette conclusion est aussi celle de l’auteur, M.A.E. Wilder Smith. Un livre qui enrichit.
- Edité par Wilder Smith A. E.
« Revêtez-vous du Seigneur Jésus-Christ et n’ayez pas soin de la chair pour en satisfaire les convoitises » (Ro. 13: 14).
« Vous, tous, qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu Christ » (Ga. 3: 27). Que signifie concrètement « être revêtu » de Christ ?
1. La Bible dit (Za. 3: 4): « Vois, je t’enlève ton iniquité, et je te revêts d’habits de fête ».
Si l’oeuvre de Jésus à la Croix a pour effet de purifier de tout péché celui qui se repent et met sa confiance en Christ, elle a encore pour résultat glorieux de revêtir le croyant de la justice et des perfections du Fils de Dieu.
Pour illustrer cette profonde vérité, nous pourrions prendre l’exemple de quelqu’un qui porte des lunettes colorées en brun. Tout le paysage sera alors, pour cette personne, teinté de brun, parce que vu au travers de ses lunettes. Pour ce qui nous concerne, nous pouvons dire que les « lunettes » par lesquelles Dieu nous voit portent le nom de Jésus n’est-ce pas merveilleux ? C’est là ce qui nous rend agréables à Ses yeux.
2. Il est écrit (Es. 32: 2): « Il y aura un homme (Christ) qui sera comme une protection contre le vent et un abri contre l’orage, comme des ruisseaux d’eau dans un lieu sec, comme l’ombre d’un grand rocher dans un pays aride » (trad. Darby).
Le vêtement nous protège du froid, des intempéries et de l’ardeur du soleil. Christ est en tout temps et en toutes circonstances Celui qui répond pleinement à tous nos besoins. Il est le protecteur parfait de l’enfant de Dieu, sa vraie cité de refuge.3. L’habit embellit et corrige les défauts corporels.
Ainsi, des premiers chrétiens: « on les reconnaissait pour avoir été avec Jésus » (Ac. 4: 13). Dans la communion avec Christ, « nous sommes transformés en Son image, de gloire en gloire, par l’Esprit du Seigneur » (II Cor. 3: 18). C’est le chemin de la sanctification.4. Le vêtement différencie le soldat ou le gendarme des autres gens.
De même, Christ nous différencie et nous sépare d’un monde pécheur et perdu, dans lequel nous sommes toutefois appelés à vivre pour Lui et à Sa gloire. La Parole de Dieu nous rappelle en II Cor. 6 : 16-17 : « Nous sommes le temple du Dieu vivant, comme Dieu l’a dit : J’habiterai et je marcherai au milieu d’eux ; je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple ».
« C’est pourquoi, sortez du milieu d’eux, et séparez-vous, dit le Seigneur; ne touchez pas à ce qui est impur, et je vous accueillerai ».
- Edité par Beauverd Jacques
Extrait de « VOIX DANS LE DESERT», No 7 (166), sous la plume de J-J. Dubois (Genève).
Dans un temps de confusion extrême où le critère de l’expérience s’est substitué à celui de l’Ecriture – seule norme intangible et infaillible, – il est indispensable de se référer à cette norme pour évaluer correctement la nature des manifestations qui divisent un grand nombre d’églises.
A partir d’une étude sérieuse de ce que le Nouveau Testament enseigne sur le baptême et la plénitude du Saint-Esprit, il est possible
d’éprouver les esprits
« pour savoir s’ils sont de Dieu ou non ».
- Edité par Dubois Jean-Jacques
TOI, qui réponds à la prière !
Tout homme accablé de tourments,
qui tourne en rond et désespère,
qu’il ait recours à la prière !
TU n’es pas sourd, au firmament !
Ceux qui vont dans l’obscurité,
Ceux qui trébuchent sur la route,
le coeur gros, oppressé de doutes,
Verront, leurs yeux tout éclairés;
Et, sur le rivage éternel,
quand notre chair saigne, et succombe,
sur le bord étroit d’une tombe…
LE FILS VIVANT montre le CIEL,
- Edité par Freyche Joël
Les preuves d’une conversion réelle à Dieu et à Christ
Décision.
L’apôtre Jean. I Jean 1 : 9: « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et Juste pour nous les pardonner ».Introspection, conscience touchée –
Briser avec le péché.
L’apôtre Jean. I Jean 3: 14: Nous aimons ceux qui font le même pas que nous : Le coeur: remplacer le péché par l’amour.
Ps. 119: 9-16: « Comment le Jeune homme rendra-t-il pur son sentier ? ».« Je me réjouis en suivant tes préceptes ». Mt. 6: 6: « Ferme la porte et prie ton Dieu qui est dans le secret ».:
Communion intime avec Dieu.
Ps. 51. David : « O Dieu, aie pitié de moi .. . Efface mes transgressions. J’ai péché contre toi seul ». « Ne me rejette pas loin de ta face ».Déchirement, peine après une chute.
Ro. 10: 1 : « Le voeu de mon coeur et ma prière à Dieu pour vous (mes frères les Israélites), c’est qu’il, soient sauvés »:Désir d’apporter le salut à d’autres.
Ja. 4: 10: « Humiliez-vous devant le Seigneur et Il vous élèvera ». Lu. 1 : 47, 48: « Mon esprit se réjouit en Dieu, mon Sauveur, parce qu’il e jeté les yeux sur la bassesse de sa servante ».La Joie dans l’humilité.
I Jn 3: 3: « Quiconque a cette espérance en lui se purifie, comme lui-même est pur ». I Co. 1 : 30: « il est devenu pour nous sagesse et sanctification ». Hé. 12: 14: « Recherchez la paix et la sanctification »:Recherche d’une vie pure.
I Jn 3 : 24: « Celui qui garde mes commandements demeure en Dieu et Dieu en lui ».Obéissance intime.
- Edité par Dubois Jean-Jacques
Je viens de rendre visite à cinq frères, pêcheurs de thon dans le golfe du St-Laurent, au Canada. Ils sont arrivés au petit port de l’île du Prince Edouard, chacun sur un bateau différent, le visage brûlé par le vent de l’Atlantique.
Rien ne disait que ces grands gaillards étaient chrétiens, sauf peut-être un texte peint sur une poutre de la jetée. Pourtant, chacun dans l’île savait; car « on » sait que les Court sont des gens honnêtes qui ne se mêleraient jamais aux combines du monde. « Toute doctrine est vaine si elle n’exprime pas une réalité concrète ».
Etre chrétien, cela doit changer chaque action, chaque pensée de notre vie. Le monde doit pouvoir par le « toucher et un baiser », comme dirait Camus, remarquer la personne de Jésus dans nos vies. Si on veut être positif pour Jésus, il nous faut être négatif pour l’adversaire. Moïse a préféré « être maltraité avec le peuple de Dieu (plutôt) que d’avoir pour un temps la Jouissance du péché » (Hé. 11 : 3).
Cela ne veut pas dire que le chrétien doive être négatif, mais il ne doit pas oublier que la joie de cette terre est passagère « Le triomphe des méchants est de courte durée et la joie de l’impie momentanée » (Job 20 5). Comment savoir vivre ? En tant que chrétien, est-ce que Je dois consulter des chrétiens plus âgés pour me soumettre à leur culture et à leur manière de vivre ?
Le seul guide infaillible est la Bible; c’est elle qui doit être « une lampe à nos pieds ».
Voici huit questions suggérées afin de donner occasion au Saint-Esprit de guider ma conduite:
(il est supposé qu’il s’agit d’entreprendre une démarche dont dépendrait par la suite une action ou un travail).- Est-ce que cette démarche va à l’encontre de la Bible ? (Ja. 4: 17; I Jn 2: 4).
- Est-ce que je cours le risque de voir diminuer l’ardeur de ma vie spirituelle ? (I Co. 10: 31; Col. 3: 23).
- Puis-Je demander en toute liberté au Seigneur de me bénir ? (I Th. 5: 18).
- Est-ce que cette action risque d’être une pierre d’achoppement pour quelqu’un ? (I Co. 8: 9; Ro. 14:13).
- Est-ce que cette action va m’édifier ? (I Co. 6: 12).
- Est-ce que je désirerais que le Seigneur Jésus fasse la même chose ? (I Jn 2: 6).
- Puis-Je dire que cette action glorifie le nom du Seigneur Jésus ? (I Co. 10: 31).
- Est-ce que je me sentirais libre de faire cette action au moment du retour du Seigneur Jésus ? (I Jn 2 : 28).
Etre chrétien, c’est vraiment cela, vivre !
Au Canada, on peut voir au début de l’été les saumons (des poissons) lutter contre le courant, sauter, pour remonter les rivières. A tout prix, il faut qu’ils aillent pondre leurs oeufs à la source qui les a vus naître, dans les lacs de montagne ! Quelques-uns meurent, balayés par le courant. Mais ceux qui survivent combattent de toutes leurs forces pour remonter jusqu’à la source.
C’est pareil pour le vrai chrétien qui veut vivre et témoigner de la puissance de Christ qui est en lui.
Du temps de Jésus, à un voyageur arrivant chez son hôte, la première chose qu’on proposait était de lui laver les pieds. Au nord de l’Amérique, de nos jours, on a poussé plus loin l’hospitalité: le nouvel arrivé est invité à prendre.., une douche ! Toutes sortes de bouteilles, de flacons à parfums s’alignent dans la salle de bains, et gare à l’Européen qui ne s’en sert pas…
Ainsi, le chrétien a constamment besoin d’être lavé des impuretés de ce monde, afin de porter la bonne odeur de Jésus-Christ partout où il va.
- Edité par Tatford B.
Articles par sujet
abonnez vous ...
Recevez chaque trimestre l’édition imprimée de Promesses, revue de réflexion biblique trimestrielle qui paraît depuis 1967.