PROMESSES

Un livre
« UN DIEU D’AMOUR »
vous est très recommandé.

L’auteur cherche à apporter sa contribution à la question de la souffrance – dans un monde de souffrance.

Un auteur, C. S. Lewis, écrivait ceci :
« Pour l’homme, la souffrance est inéluctable ! Est-elle inutile. alors îl n’y a pas de Dieu, ou bien ne serait-il pas à la hau- teur ? Existe-t-il un Dieu compa- tissant ? Alors la souffrance est nécessaire ! »

Cette conclusion est aussi celle de l’auteur, M.A.E. Wilder Smith. Un livre qui enrichit.

(Editions Telos)

« Revêtez-vous du Seigneur Jésus-Christ et n’ayez pas soin de la chair pour en satisfaire les convoitises » (Ro. 13: 14).
« Vous, tous, qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu Christ » (Ga. 3: 27). Que signifie concrètement « être revêtu » de Christ ?

1. La Bible dit (Za. 3: 4): « Vois, je t’enlève ton iniquité, et je te revêts d’habits de fête ».

Si l’oeuvre de Jésus à la Croix a pour effet de purifier de tout péché celui qui se repent et met sa confiance en Christ, elle a encore pour résultat glorieux de revêtir le croyant de la justice et des perfections du Fils de Dieu.

Pour illustrer cette profonde vérité, nous pourrions prendre l’exemple de quelqu’un qui porte des lunettes colorées en brun. Tout le paysage sera alors, pour cette personne, teinté de brun, parce que vu au travers de ses lunettes. Pour ce qui nous con­cerne, nous pouvons dire que les « lunettes » par lesquelles Dieu nous voit portent le nom de Jésus n’est-ce pas merveilleux ? C’est là ce qui nous rend agréables à Ses yeux.

2. Il est écrit (Es. 32: 2): « Il y aura un homme (Christ) qui sera comme une protection contre le vent et un abri contre l’orage, comme des ruisseaux d’eau dans un lieu sec, comme l’ombre d’un grand rocher dans un pays aride » (trad. Darby).

Le vêtement nous protège du froid, des intempéries et de l’ardeur du soleil. Christ est en tout temps et en toutes circonstances Celui qui répond pleinement à tous nos besoins. Il est le protec­teur parfait de l’enfant de Dieu, sa vraie cité de refuge.

3. L’habit embellit et corrige les défauts corporels.

Ainsi, des premiers chrétiens: « on les reconnaissait pour avoir été avec Jésus » (Ac. 4: 13). Dans la communion avec Christ, « nous sommes transformés en Son image, de gloire en gloire, par l’Esprit du Seigneur » (II Cor. 3: 18). C’est le chemin de la sanctification.

4. Le vêtement différencie le soldat ou le gendarme des autres gens.

De même, Christ nous différencie et nous sépare d’un monde pécheur et perdu, dans lequel nous sommes toutefois appelés à vivre pour Lui et à Sa gloire. La Parole de Dieu nous rappelle en II Cor. 6 : 16-17 : « Nous sommes le temple du Dieu vivant, com­me Dieu l’a dit : J’habiterai et je marcherai au milieu d’eux ; je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple ».

« C’est pourquoi, sortez du milieu d’eux, et séparez-vous, dit le Seigneur; ne touchez pas à ce qui est impur, et je vous accueillerai ».


Extrait de « VOIX DANS LE DESERT», No 7 (166), sous la plume de J-J. Dubois (Genève).

Dans un temps de confusion extrême où le critère de l’expérience s’est substitué à celui de l’Ecriture – seule norme intangible et infail­lible, – il est indispensable de se référer à cette norme pour évaluer correctement la nature des manifestations qui divisent un grand nom­bre d’églises.

A partir d’une étude sérieuse de ce que le Nouveau Testament ensei­gne sur le baptême et la plénitude du Saint-Esprit, il est possible

d’éprouver les esprits
« pour savoir s’ils sont de Dieu ou non ».