PROMESSES

Vue « d’en haut », l’Eglise est une pensée éternelle de Dieu matérialisée dans le temps. Comme Christ, qui est sa tête (Col. 1, 18) , elle n’a dans ce sens ni commencement, ni fin (Héb. 7, 3) .

Sur le plan historique, elle a été conçue, enfantée spirituellement du Saint-Esprit à la Pentecôte (Actes 1, 2) .Elle constitue le grand sujet des épîtres de l’apôtre Paul, dans lesquelles elle est présentée comme épouse de Christ, « Os de ses os et chair de sa chair », selon Eph. 5, 27-31. En Lui, elle est sainte, universelle et apostolique, parce qu’édifiée sur le fondement (c’est-à-dire l’enseignement) des apôtres et des prophètes (Eph. 2, 20) .

Considérée au travers des perfections de son Seigneur, la mesure de sa sainteté est celle même du Fils de Dieu (Héb. 2, 11) .Sa destinée, c’est un règne éternel aux côtés de Celui qui l’a rachetée du péché et de la mort au prix de Son sang et qui est en même temps le Créateur souverain de toutes choses. L’Eglise, c’est Jésus-Christ présent ici-bas dans ceux qui sont Ses membres.

D’une part, elle ne peut être confondue avec une dénomination particulière et, d’autre part, il n’est pas possible non plus de dire qu’elle est constituée par l’ensemble de tous ceux qui appartiennent à une église ou confession chrétienne. Cela apparaît clairement dans plusieurs passages de l’Ecriture montrant que l’Eglise de Jésus-Christ est composée de ceux-là seuls qui ont fait l’expérience de la nouvelle naissance (Jean 3) .Lors de ce fait, ils ont reçu l’Esprit.Saint qui est le lien unissant tous les vrais enfants de Dieu. Dans ce sens, la prière de Jean (17, 21) : « Que tous soient un » est déjà .parfaite. ment exaucée.
On entend souvent parler du « scandale des divisions », mais presque jamais du « scandale des unions coupables » et pourtant la Bible nous avertit à plusieurs reprises de ce danger redoutable, aussi bien dans l’Ancien Testament que dans le Nouveau, voir: Deut. 22, 11 ; 23, 3; Jos. 23, 7 et 12; I Cor. 5, et Gal. 5. 9.

I Cor 6, 14-18 est particulièrement clair à cet égard: « Ne vous mettez pas avec les infidèles sous un joug étranger. Car quel rapport y a-t-il entre la justice et l’iniquité ? ou qu’y a-t-il de commun entre la lumière et les ténèbres , …C’est pourquoi, sortez du milieu d’eux, et séparez-vous, dit le Seigneur ne touchez pas à ce qui est impur, et je vous accueillerai ».

La position biblique dans ce domaine consiste à tenir compte de l’exigence chrétienne de vérité et de séparation du mal et en même temps de la nécessité de manifester l’unité avec tous ceux qui par une conversion personnelle sont devenus membres de Christ.

Il est intéressant de remarquer à cet égard que c’est dans l’épître aux Philippiens, qui nous présente l’expérience de la vie chrétienne dans son expression la plus parfaite, que nous trouvons sept manifestations de l’unité chrétienne.

     1.  Avoir un même sentiment (chap. 2, 2 et 4, 2).
     2.   Un même amour (2, 2) .
     3.  Une même âme dans le combat (1, 27 et 2, 2).
     4.  Demeurer fermes dans un même esprit (1, 27)
     5.  Avoir une même pensée (2, 2 et 3, 15).
     6.  Marcher d’un même pas (3.16).
     7.  Soutenir le même combat (1, 30).

Ces sept manifestations de l’unité des chrétiens ont été comparées à un diamant à sept facettes que Jésus-Christ, la lumière, fait étinceler, ou encore à une roue à sept rayons dont Jésus est le centre, donnant la cohésion à l’ensemble.

En conclusion, nous sommes exhortés par l’apôtre Paul à professer la vérité dans la charité (Eph. 4, 15). Il n’est donc pas possible pour des croyants conséquents vis-à-vis de la Parole de Dieu de sacrifier la vérité révélée sur l’autel de l’unité, mais il n’est pas admissible non plus que des chrétiens se séparent pour des peccadilles ou simplement pour des motifs personnels. Il devient de plus en plus évident qu’il n’y a plus d’évangélisation efficace dam le monde moderne, si tous les chrétiens fidèles à l’enseignement biblique ne se donnent pas la main d’association dans tous les endroits où une campagne a lieu.

* * *


Le vrai chrétien, scellé par l’Esprit de Dieu, constate bientôt un fait impor tant: il n’est pas compris de ceux qu’il a quittés! le chrétien de nom veut bien s’occuper un peu de religion. Mais vivre la foi chrétienne, loin de là. Mettre sa confiance en Dieu, totalement, n’entre pas en ligne de compte !
Au premier siècle, l’Evangile provoquait de semblables réactions. Aujourd’hui, l’adolescent qui n’a pas accepté le Christ dans son coeur ne comprend pas le christianisme. Il voit la liberté ailleurs… Il faut bien dire qu’il possède, au fond de son être, le sentiment qu’il existe une liberté, qu’il devrait jouir d’une liberté. Nous en avons un exemple typique dans la Parole. Celui que l’on a nommé le « fils prodigue », de l’Evangile de luc 15, est fort mécontent de sa situation. le père le laisse aller, lui laisse la liberté, lui facilite la liberté. Dieu a laissé libres Eve et Adam, puis, de même, leurs descendants.
En général, le jeune homme pense qu’il est libre ou du moins qu’il devrait être libre. Même s’il a quelques notions du christianisme, il ne sait pas qu’il est un esclave, esclave par filiation, par sa naissance dans la race d’Adam. Il ne sait pas qu’il est esclave du péché et qu’il ne peut se libérer seul.
Cependant, celui qui prend le temps de réfléchir reconnaît bientôt que sa liberté n’est qu’apparente, qu’il est trahi par sa propre nature. Il peut considérer qu’il ne fait pas toujours ce qu’il aimerait faire, qu’il n’est pas maître de sa propre vie, de sa volonté, de ses sentiments. les limitations au sein de la famille du « fils prodigue », limitations qui étaient dans son intérêt, ne lui conviennent pas. les lois divines « écrites dans leurs coeurs » (Rom. 2, 15) , donnent une base et un cadre à l’existence humaine, mais les hommes les repoussent et se trouvent en rébellion avec eux-mêmes et avec leur Créateur. En acceptant Christ comme Sauveur, l’être humain est invité à passer d’un stade d’esclavage à un autre stade d’esclavage! « Conduisez-vous en hommes libres, non pour faire de la liberté un voile qui couvre la méchanceté, mais pour agir comme des esclaves de Dieu » (I Pi. 2, 16). « Chargez-vous de mon joug » (Mat, 11, 29) .C’est un paradoxe, une contradiction, semble-t-il. Or, c’est dans l’esclavage de Dieu que l’on trouve la vraie liberté. « Mon joug est doux et mon fardeau léger ». Créateur de l’homme, Dieu connaît intimement l’homme. Il sait « Car la Parole de Dieu est vivante et efficace, plus pénétrante qu’une épée à deux tranchants; elle atteint jusqu’à la division de l’âme et de l’esprit, des jointures et des moelles » (Héb. 4, 12) .le Créateur connaît ainsi parfaitement l’être qu’il a créé et sait quelles sont les conditions les meilleures pour son bonheur terrestre. C’est une liberté qui passe au travers de son Fils, si l’on peut dire, une liberté qui a quelques limitations :
« Etroite est la porte et resserré le chemin qui mènent à la vie, et il y en peu qui les trouvent » (Mat. 7, 14) .Mais, .si le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres! » (Jean 8, 36) .
Cette liberté, acquise par la foi en Jésus-Christ, est une réalité. Celui qui e a fait l’expérience sait qu’une force positive est entrée dans sa vie. Le chrétien n’est plus esclave; il est entré dans la maison de Dieu. S’il est. esclave » de Dieu, le Fils l’affranchit; il est désormais appelé « enfant » de Dieu. Il est passé d’un stade appelé. mort », à un stade appelé. vie en Christ , .II est mort une fois pour toutes au péché; vivant, il vit pour Dieu. Vous donc aussi, considérez-vous comme morts quant au péché, mais comme vivants pour Dieu, en Jésus-Christ » (Rom. 6, 10-11). « C’est pour la liberté qui Christ nous a affranchis » (Gal. 5, 1).

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A qui cet ordre s’adresse-t-il ?
Aux vrais chrétiens, aux enfants de Dieu, car il n’y a que :
Deux familles dans le monde: les vivants (I Sam. 25, 29) et les morts (Luc 9, 60).
Les pierres vivantes (1 Pi. 2, 5) et les pierres mortes (Marc 13, 1-2).
Les enfants de Dieu et les enfants du diable (1 Jean 3, 10) .
Celui qui a le Fils a la vie; celui qui n’a pas le Fils de Dieu n’a pas la Vie (I Jean 5, 12).
Chrétiens, prenons garde au sommeil spirituel
Il commence tout doucement; on ne s’en rend guère compte (Luc 21, 34).
L’assoupissement (ce n’est pas encore le sommeil) (Mat. 25, 5).
Le sommeil; on n’attend plus le Seigneur (I Thess. 5, 4-8).
Pendant le sommeil, Samson a perdu sa force (Juges 16, 15-21).
Le roi Saül a perdu ses armes (1 Samuel 26, 6-12).
L’ennemi a semé l’ivraie parmi le blé (Mat. 13, 25).
Jonas ne pense plus au salut des âmes.
Eutyche tombe de la fenêtre (Actes 20, 8-9).

REVEILLE-TOI
C’est la voix du Saint-Esprit (Eph. 5, 14).
Ordre personnel, individuel, comme pour la conversion.
Sommes-nous décidés à obéir aujourd’hui, maintenant ?
C’est une parole d’amour du Bien-aimé.
Réveille-toi d’entre les morts, et Christ t’inondera de lumière !

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Bougeons-nous, voyons, et mettons-nous à l’oeuvre, et tout de suite

-il faut travailler pendant qu’il est jour; la nuit vient en laquelle personne ne peut travailler (Jean 9, 4).
-va travailler dans ma vigne, aujourd’hui (Mat th. 21, 28).
-travaillant à cette même oeuvre (2 Cor. 16, 10).
-je travaille en combattant (Col. 1, 29).
-nous travaillons avec Dieu (2 Cor. 6, 1) .
-nous travaillons et nous combattons (I Tim. 4, 10) .
-travaillant de mieux en mieux à l’oeuvre du Seigneur, sachant que votre travail n’est pas vain dans le Seigneur (I Cor. 15, 58).
-Timothée travaille à l’oeuvre du Seigneur, comme Paul (I Cor. 16, 10).
-j’ai travaillé, dit Paul, plus qu’eux tous (1 Cor. 15, 10).
-ils ont travaillé avec moi pour le royaume de Dieu (Col. 4, 11).
-prêche la Parole, insiste en toute occasion, favorable ou non (2 Tim. 4, 2).
-prêchez au peuple (Actes 10, 42).
-rachetez le temps (Eph. 5, 16).
-saisissant l’occasion (Col. 4, 5).
-ceux qui ont travaillé et ceux qui ont beaucoup travaillé dans le Seigneur, sont loués dans Romains 16.
-tout ce que ta main trouve à faire, fais-le selon ton pouvoir (Eccl. 9, 10)
-le matin, sème ta semence – la semence c’est la Parole de Dieu (Luc 8, 11) – et le soir, ne laisse pas reposer ta main… (Eccl. 11, 6).
-jette ton pain sur la face des eaux, car tu le trouveras après bien des jours (Eccl.11,1).
-ayez du zèle et non de la paresse. Servez le Seigneur (Rom. 12, 11).
-va vers la fourmi, paresseux, considère ses voies et deviens sage (Prov. 6, 6).

* * *


…Un vent de folie souffle parmi les jeunes de nos pays occidentaux. « Nous voulons la liberté sexuelle », déclarent-ils. C’est ainsi qu’ils veulent partager leurs sentiments avec le monde. Les enfants du peuple d’Israël connurent aussi cette vague « d’amour libre ». Ils s’étaient réunis autour d’un veau d’or au pied du Mont Sinaï pour danser et s’amuser. Certains d’entre eux s’étaient dévêtus. Et Moïse descendit de la montagne avec les dix commandements écrits sur les tables de pierre. Il lut ces commandements au peuple. L’un d’eux disait: « Tu ne commettras pas d’adultère ». Nous avons vraiment besoin d’un nouveau Moïse qui descende de la montagne avec la Loi et nous dise une fois de plus: « Tu ne commettras pas d’immoralité sexuelle ».

Qu’est-ce que la question sexuelle ? Et d’abord, pourquoi Dieu a-t-il créé les sexes ? La Bible ne dit nulle part que le sexe lui-même est mauvais. Nulle part non plus que c’est une chose dont on ne doit pas parler. La Bible contient les paroles les plus franches à ce sujet. Elle dit que Dieu nous a créés homme et femme et qu’une fois toute sa création terminée, il l’a jugée bonne. L’apôtre Paul a appelé le corps: « temple du Saint-Esprit ». Au XIXe siècle, on a trouvé que le corps était une mauvaise chose et que le sexe représentait le péché et la souillure. On a réprimé les sentiments sexuels au-delà de toute mesure, et maintenant, nous vivons une période de violente réaction contre cette attitude passée.

Dieu nous a donné un sexe pour trois raisons: pour la propagation de la race humaine, pour donner sa plénitude à l’amour véritable dans le mariage, et pour que l’homme et sa femme puissent exprimer leur unité. La Bible enseigne que « le mariage doit être honoré de tous et le lit conjugal exempt de souillure, car Dieu jugera les adultères ».

Après que Dieu eut sanctifié le sexe par le mariage dans le jardin d’Eden, quelque chose survint: une tragédie. L’homme se révolta contre son créateur et cette rébellion dressa un mur entre Dieu et l’homme. Le péché était né; c’est une maladie et chacun de nous en est atteint. La Bible dit qu’un voile a été jeté sur notre esprit: « Nous sommes aveuglés par le dieu de ce monde ».

Le péché n’affecte pas seulement notre vie intellectuelle, mais aussi nos relations avec Dieu. Il nous sépare de Dieu, nous entraînant dans la mort spirituelle, c’est-à-dire la mort vis-à-vis de Dieu. Cela explique pourquoi certains se plongent dans l’alcoolisme, la drogue, l’immoralité. Nous cherchons le bonheur et la paix. Nous avons été créés pour être en communion avec Dieu, et sans Lui, nous ne trouverons jamais le bonheur.

Le péché affecte la vie sexuelle. Le sexe a été perverti; les gens l’ont utilisé d’une façon que Dieu n’a pas voulue. La convoitise est apparue. Il y a une grande différence entre les mots « amour » et « convoitise ». Des milliers de jeunes pensent être amoureux alors qu’ils n’éprouvent qu’une attraction physique l’un pour l’autre et qu’un désir physique n’amène souvent qu’à la convoitise. Aujourd’hui, on utilise le sexe pour vendre n’importe quoi, du savon ou … des automobiles. Il nous préoccupe au point que nous en sommes obsédés.

Pourquoi Dieu nous commande-t-il : « Tu ne commettras jamais d’immoralité » ? Tout d’abord, il le fait pour protéger le mariage futur. Bien des mariages parmi les jeunes d’aujourd’hui sont des mariages forcés: « Ils étaient obligés de se marier ». Trop souvent ces jeunes n’étaient pas faits l’un pour l’autre. Près de la moitié de ces mariages ne tiennent pas plus de deux ou trois ans. Si nous sommes immoraux avant le mariage, il en sera affecté. N’importe quel psychiatre ou homme d’église qui a étudié la question vous le dira.

Ensuite, Dieu le fait pour protéger nos corps. Le Dr Arthur Curtis, du Michigan, a déclaré récemment: « Les maladies vénériennes qui sont contagieuses ont pris de tragiques proportions, jusqu’à doubler leur étendue ces dix dernières années ».

Troisièmement, il le fait pour nous protéger sur le plan psychologique. Un grand psychiatre m’a dit que la moitié des étudiants qui viennent le voir souffrent d’un profond sentiment de culpabilité sexuelle. Notre nature porte en elle une loi morale. L’immoralité provoque des troubles émotionnels et un état constant d’insécurité. ..

Quatrièmement, Dieu a donné ce commandement pour protéger notre société et raffermir nos nations. Le problème moral peut détruire la structure d’un pays. La Rome antique devint si immorale que sa vie nationale en fut affectée et que le jugement de Dieu tomba sur elle.

La Bible nous montre que l’on peut commettre l’immoralité autrement que dans l’acte sexuel lui-même : par l’imagination, par la façon dont nous nous habillons, par les lectures malsaines, par les films érotiques. Un drapeau flamboyant devrait flotter devant chaque école, chaque usine, chaque bureau, tout lieu où les jeunes se réunissent, un drapeau portant ces paroles: « Tu ne seras pas immoral ».

Une des marques du chrétien est la discipline personnelle. Je ne vois pas comment un jeune de notre époque peut rester pur en dehors de l’intervention de Jésus-Christ. Certains le font peut-être par une grande force de volonté – ils sont peu nombreux. Mais avec Jésus-Christ dans nos coeurs, nous avons à notre disposition des forces surnaturelles qui nous aident à surmonter la tentation.

J’ai dix suggestions à faire aux jeunes d’aujourd’hui à propos des questions sexuelles :

1) Eviter les mauvaises fréquentations. Si vous êtes dans une foule excitée, vous subirez obligatoirement quelque influence,

2) Evitez le « deuxième regard », Vous ne pouvez éviter le premier, mais vous pouvez ensuite détourner la tête, car c’est alors que la convoitise peut survenir.

3) Ayez de la discipline dans vos conversations. Evitez les plaisanteries grossières, les propos à double sens.

4) Attention à votre tenue. C’est à vous que, devant Dieu, revient la responsabilité de vous vêtir décemment. Une jeune femme qui a confié sa vie à Jésus-Christ dernièrement, nous a écrit: « Je vais maintenant m’habiller comme si Jésus allait m’accompagner ».

5) Choisissez soigneusement les programmes de télévision ou les films que vous allez voir.

6) Sélectionnez vos lectures. Tant de livres et de revues sont centrés sur l’attrait sexuel.

7) Veillez à ce qui occupe vos moments de loisirs. Le roi David ne faisait rien lorsqu’il vit la femme d’Urie et qu’il fut entraîné dans le péché.

8) Décidez fermement de ne permettre aucune familiarité de la part des autres et de vous en abstenir vous-même envers eux. Je crois sincèrement qu’une jeune fille qui a confié son coeur à Jésus possède une force intérieure la rendant capable de dire non aux avances d’un jeune homme, le plus charmant soit-il. Et je crois aussi qu’un jeune homme marchant avec le Christ sait discipliner sa vie.

9) Passez du temps dans la méditation des Saintes Ecritures. Le psalmiste disait: « Je serre Ta parole dans mon coeur afin de ne pas pécher contre Toi ». Mémorisez cette parole biblique et vous pourrez ainsi affronter l’ennemi au moment de la tentation. La Parole de Dieu est l’arme que le diable ne peut vaincre.

10) Que Jésus-Christ occupe votre coeur et votre vie. Le connaissez-vous comme votre Sauveur ? Je veux vous dire que Dieu vous aime, et qu’une foi intense en Dieu a gardé bien des hommes et des femmes de l’immoralité. Joseph avait cette foi-là. Et il put refuser les avances de la femme de Potiphar, même en sachant que cela pouvait l’amener en prison.

Vous me direz peut-être : « Je suis coupable. J’ai commis le péché d’immoralité… » Nous n’avons pas la force en nous-mêmes de respecter ce commandement ou n’importe lequel des neuf autres. Mais à la croix de Jésus-Christ nous trouvons le pardon des péchés passés, et un nouvel essor pour vivre dans la pureté.

Vous souvenez-vous de la pécheresse qui lava les pieds de Jésus avec ses larmes ? Elle reconnut en Jésus Son Seigneur et Il lui dit: « Tes péchés te sont pardonnés… ». C’est ce qu’il Vous dit aujourd’hui. Jésus-Christ est mort sur la croix pour Vous. Il a versé Son sang pour Vous. Mais Vous devez accepter le Christ pour vous-même. De nombreux jeunes gens vivent de la religion de leurs parents: ils ont été élevés dans une église chrétienne sans avoir jamais accepté Jésus comme Sauveur et guide de leur vie. Ils ne sont pas sûrs d’être prêts à rencontrer Dieu.

Que faire ? Venir au Christ par la foi. Il a dit: « vous devez naître de nouveau « , c’est-à-dire Vous convertir en devenant comme un petit enfant, sinon le royaume des cieux Vous est fermé. Que signifie le mot « convertir » ? Il signifie « changer ». Je vais changer ma vie. Je vais changer mon attitude. Je vais laisser à Jésus-Christ la première place. Voilà ce que veut dire se convertir au Christ.

Vous avez besoin de Lui aujourd’hui. Recevez-Le par la foi !

Avec l’autorisation de
« Distribution de traités chrétiens » 2500 Bienne 8

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Jean 3.16

 

     L’Objet      LE MONDE
     Le Don      LE FILS UNIQUE
     La Cause      DIEU A TANT AIMÉ
     L’Offre      A QUICONQUE
     La Condition      QU’IL CROIE EN LUI
     La Promesse      NE PÉRISSE PAS
     Etes-vous assuré d’avoir la vie éternelle ?
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Nous ne citerons pas ici les promesses de l’Ancien Testament que nous voulons précisément étudier tout à l’heure. Bornons-nous pour le moment à rappeler en quels termes certains textes du Nouveau Testament envisagent la réintégration d’Israël.
Pierre dit aux Juifs qui ont crucifié le Seigneur: « Repentez-vous donc et convertissez-vous, pour que vos péchés soient effacés, afin que des temps de rafraîchissement viennent de la part du Seigneur, et qu’Il envoie celui qui vous a été destiné, Jésus-Christ, que le ciel doit recevoir jusqu’au temps du rétablissement de toutes choses, dont Dieu a parlé anciennement par la bouche de ses sa)nts prophètes » (Ac. 3, 19-21).Il ne peut s’agir ici du rétablissement d’Israël après la captivité de Babylone, mais bien plutôt du glorieux retour annoncé par les prophètes qui suivra la fin de la dispersion mondiale et du temps des nations (Luc 21, 24).
Paul, de son côté, déclare que Dieu, par pure grâce, a élu Israël. Il ne fait pas d’erreur dans Son choix éternel et souverain. Il ne Se repent ni de Ses dons ni de Son appel. Les Israélites sont devenus ennemis en crucifiant le Sauveur et en persécutant les croyants; « mais, en ce qui concerne l’élection, ils sont aimés à cause de leurs pères… Je dis donc, ajoute Paul: Dieu a-t-il rejeté Son peuple ? Loin de là! Dieu n’a pas rejeté Son peuple, qu’Il a connu d’avance »(Rom. 11, 28-29 ; 1, 2). De toute éternité, le Seigneur connaissait la conduite future d’Israël. et pourtant Il lui a fait des promesses perpétuelles de bénédiction temporelle et spirituelle. Dieu maintenant ne manquera pas d’accomplir fidèlement Sa Parole.

Il y a en effet trois « jusqu’à ce que » qui annoncent clairement un terme au delà duquel une dispensation nouvelle commencera pour Israël (et pour le monde) :
« Jérusalem sera foulée aux pieds par les nations, jusqu’à ce que les temps des nations soient accomplis », Luc 21, 24 ;
« Votre maison (le temple) vous sera laissée déserte, jusqu’à ce que vous disiez: Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur », Mat. 23, 39 ;
« Une partie d’Israël est tombée dans l’endurcissement, jusqu’à ce que la totalité des païens soit entrée. Et ainsi tout Israël sera sauvé », Rom. 11, 25-26. C’est pourquoi Paul proclame avec force que si Dieu a mis de côté Israël, ce n’est, malgré tout, ni entièrement, ni définitivement :

1.  » y a et il y aura toujours parmi les Israélites un « reste », une postérité, selon l’élection de la grâce, qui accepte le Messie. Paul et tous les apôtres en sont des exemples frappants, sans parler des « sept mille » que nous ne connaissons pas toujours, Rom. 9, 27-29 ; 11, 1-5. Ce sont ces Juifs-là que Paul lui-même appelle « l’Israël de Dieu », Gal. 6, 16.

2. Israël tout entier sera finalement sauvé
« Si leur chute a été la richesse du monde…, combien plus en sera-t-il quand ils se convertiront tous ? …que sera leur réintégration, sinon une vie d’entre les morts ? …S’ils ne persistent pas dans leur incrédulité, ils seront entés (sur l’olivier de la grâce de Dieu) ; car Dieu est puissant pour les enter de nouveau… à plus forte raison seront-ils entés selon leur nature sur leur propre olivier… Une partie d’Israël est tombée dans l’endurcissement, jusqu’à ce que la totalité des païens soit entrée. Et ainsi tout Israël sera sauvé, selon qu’il est écrit: Le libérateur viendra de Sion, et il détournera de Jacob les impiétés; et ce sera mon alliance avec eux, lorsque j’ôterai leurs péchés… Ils ont maintenant désobéi, afin que, par la miséricorde qui vous a été faite, ils obtiennent aussi miséricorde », Rom. 11, 12, 15, 23-27, 31.
L’alliance à laquelle Paul vient de faire allusion, c’est bien entendu la nouvelle alliance, annoncée par Jérémie et établie déjà depuis dix-neuf siècles (Jér. 31, 31-34 et Hébr. 8, 7-12) .Les Israélites y entreront lorsqu’enfin ils se convertiront à Jésus-Christ.

3. Le peuple juif existera jusqu’à la fin des temps.
Paul vient de nous dire qu’Israël se convertira au retour de Christ, « lorsque la totalité des païens sera entrée », c’est-à-dire lorsque l’Eglise sera complète. Nous verrons que tous les prophètes de l’Ancien Testament affirment la même chose. Bornons nous à mentionner ici qu’Israël existera et sera en Palestine :
     à l’époque de l’Antichrist, Dan. 11, 41 -12, 1, 7 ;
     au moment où Gog envahira le pays, Ez. 38, 8 ;
     lors de la bataille d’Harmaguédon, Joël 3, 1-2, 16 ;      à l’instant où Christ apparaîtra sur la montagne des Oliviers, Zach. 14, 1-5.
La parole de Jérémie se vérifiera donc entièrement: « Ainsi parle l’Eternel, qui a fait le soleil pour éclairer le jour, qui a destiné la lune et les étoiles à éclairer la nuit ». Si ces lois viennent à cesser devant moi, dit l’Eternel, la race d’Israël aussi cessera pour toujours d’être une nation devant moi », Jé! . 31, 35-36 (Voyez aussi Jér. 33, 24-26) .

En conclusion de ce paragraphe, nous pouvons dire ceci: bien qu’au point de vue du salut éternel, il n’y ait plus ni Juif ni Grec, Israël subsiste cependant en tant que peuple terrestre choisi par Dieu. Jésus-Christ est venu confirmer les promesses faites aux pères, et l’avantage des Juifs demeure « très grand de toute manière », car l’incrédulité de quelques-uns n’a pas anéanti la fidélité de Dieu, Rom. 15, 8; 3, 1, 3. Aussi le Seigneur déclare-t-il solennellement à Israël: « Il y a de l’espérance pour ton avenir », Jér. 31, 17.
Le plan divin à l’égard des Juifs, tel qu’il est révélé par les Ecritures, ne manquera pas de s’accomplir.

(Extrait du livre « La destinée d’Israël »
Editions Emmaüs. St-Légier si Vevey)

* * *


Dieu a tant aimé le monde. ..
A la croix, notre Seigneur Jésus-Christ a porté nos péchés. Il est venu dans le monde pour sauver les pécheurs, dont. ..

je suis le premier.

Je suis né dans une famille non-chrétienne. Dieu m’a choisi dans notre famille. Nous sommes dix enfants d’un même père et mère. Trois sont convertis, avec ma mère.

Chers lecteurs, je vous charge de ce grand travail: priez Dieu, notre Créateur, Il pourrait sauver mes frères non convertis.

Votre frère en Christ,


Toute la nature est régie par des lois précises. Nous savons à quelle température l’eau bout, à quelle température elle gèle. Nous savons que toutes ces lois scientifiques fonctionnent avec une précision parfaite et nous sommes en train de découvrir les lois de la nature.
Alors, pourquoi Dieu laisserait-il tout aller au petit bonheur lorsqu’il s’agit de lois spirituelles et morales ? Elles sont tout aussi précises. Jésus a dit que la route était étroite, que la voie était resserrée, et que si on voulait prendre la voie resserrée qui mène à la vie éternelle, il fallait passer par la porte étroite. Qu’est-ce que cette porte ? Jésus a dit: « Je suis le chemin. Je suis la porte. Si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé ». Jésus nous dit de ne pas essayer de venir par un autre chemin, comme un voleur. Il nous a dit d’entrer par Lui.
Vous pensez peut-être que vous ne pouvez pas accepter cela. Vous vous dites: « Je veux aller au ciel, j’ai le sentiment qu’il y a une vie dans l’au-delà, je pense qu’il y a peut-être un ciel, mais je ne désire simplement pas y venir par Jésus ».
Je regrette, je ne peux pas faire de compromis sur ce point. La Bible ne me laisse aucune possibilité de marchander avec vous. Je ne puis en abaisser les exigences… Jésus a dit : « Je suis la porte. Si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé ».

(Extrait du livre « DIEU n’est pas LOIN ». Dix messages de Billy Graham, prononcés en juin 1969 à New-York. Editions des Groupes missionnaires, 2, Av. des Pléiades, CH 1800 Vevey)
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Les épîtres, en particulier celles de l’apôtre Paul, sont considérées souvent comme inaccessibles; on hésite à s’y aventurer parce qu’on ne comprend pas bien sa langue et ses pensées. Pourtant, leur simple méditation peut nous apporter de nombreux éléments pour nourrir notre foi, notre vie pratique et notre louange.
Prenons quelques versets d’un de ces développements « dogmatiques », que l’on considère généralement comme arides: Ephésiens 1, 3-6. Lisez ces versets dans votre Bible et, avant de continuer cette lecture, notez toutes les pensées simples et édifiantes qu’ils contiennent. Vous aurez certainement noté que :
-Dieu est pour nous le Père de notre Seigneur Jésus-Christ
-Il nous a bénis de toutes sortes de bénédictions.
-Il nous a élus (c’est-à-dire choisis).
-Il nous veut saints et irrépréhensibles.
-Il nous aime.
-Il désire faire de nous ses enfants adoptifs.

Nous trouvons déjà, dans ces affirmations, de nombreux sujets de louanges. Sans aller plus loin, nous pouvons faire monter à Dieu notre prière de reconnaissance pour tout ce qu’il a ainsi fait pour nous.

Allons un peu plus loin

. « Béni soit Dieu ». .Je suis arrêté par le premier mot. Je pensais que c’était Dieu qui bénirait; peut-il être lui-même béni ? Je consulte mon dictionnaire. Il m’apprend que bénir vient de bene = bien; dicere = dire. Donc bénir signifie étymologiquement: dire du bien de quelqu’un. Un des sens donné par le dictionnaire Larousse est: « glorifier, remercier; bénir son bienfaiteur »..Je pense donc à m’associer à la louange qui jaillit du coeur de l’apôtre et bénir Dieu, le glorifier et le remercier pour ses bienfaits. Est-ce que je ne pourrais pas aussi bénir Dieu devant les hommes: dire du bien de Lui, raconter le bien qu’il a fait à mon âme ? C’est la réponse que Dieu attend de nous à ses bénédictions, c’est ce que m’apprennent les versets 6, 12, 14. Je remarque que Paul commence par louer Dieu. Il le fait dans presque toutes ses épîtres. Ma prière commence-t-elle aussi par la louange ?

Le Père de notre Seigneur Jésus-Christ

Dieu, pour nous, n’est pas un être lointain, inconnu et inaccessible: Il est le Père de notre Seigneur Jésus-Christ. Si je connaissais le fils du président de la République, ce personnage important cesserait d’être pour moi un magistrat inabordable; il serait le père de François ou de Martine. Si j’avais quelques faveurs à lui demander, je saurais comment l’atteindre. Dieu est devenu pour moi un Père, si Jésus-Christ est devenu mon Seigneur. .Je monte vers mon Père et votre Père. (Jean 20, 17) .Mais Jésus-Christ est-il vraiment mon Seigneur: est-ce que je lui obéis comme à un maître souverain ?

Qui nous a bénis .Je retrouve le sens habituel du mot bénir. Dieu est amour; il veut nous rendre heureux, nous bénir. Il l’a fait (le verbe est au passé) .Je vais découvrir tout ce qu’il a fait pour moi.

de toutes sortes de bénédictions spirituelles: pas d’uniformité ou de parcimonie dans la bénédiction divine. Dieu veut me combler de ses biens. Dans une autre version, je lirai: « de toute bénédiction », de toute la bénédiction qu’il possédait dans le ciel. .Tout est en Christ. et, par lui, Dieu nous donne avec abondance, ses réserves spirituelles. Je m’attendais peut-être à des bénédictions matérielles en devenant chrétien. Mais Dieu avait des biens supérieurs en réserve pour moi. Les biens matériels ne durent qu’un temps; ils attachent notre coeur à cette terre et risquent de le fermer aux véritables richesses. Dieu nous donne ce qu’il a de meilleur: les biens éternels que ni les voleurs, ni la mort ne peuvent nous ravir.

dans les lieux célestes: qu’est-ce ? Les parallèles m’indiquent d’autres versets de la même épître où cette expression revient :
1, 20 : c’est là où Christ est assis actuellement à la droite de Dieu.
2, 6 : nous y sommes assis avec Lui.
3, 10: c’est le lieu où se trouvent aussi les « dominations et les autorités » angéliques ou démoniaques (voir 6, 12) .
Ces lieux célestes sont donc une position, plutôt qu’un endroit: un plan de vie. En effet, où se trouve Jésus-Christ actuellement ? « Là où deux ou trois sont assemblés en mon nom » (Matt. 18, 20), « avec vous tous les jours » (Matt. 28, 20), « je viendrai à vous » (Jean 14, 18). C’est bien aussi sur cette terre que nous avons à lutter contre les dominations sataniques (6, 12). Il faut sans doute comprendre cette expression, comme nous dirions: .sur le plan spirituel.. Lorsque nous vivons par l’Esprit, nous pénétrons dans les lieux célestes. Comment ? En Christ. Je ne puis pénétrer dans les « lieux célestes » de cette terre, c’est-à-dire dans l’atmosphère, qu’en avion. J’y reste seulement aussi longtemps que je demeure dans l’avion. Ainsi, je ne pénètre dans les « lieux célestes », sur le plan spirituel, qu’ « en Christ ». « Hors de moi, vous ne pouvez rien faire ». Je retrouverai cette expression « en Christ » tout au long de cette épître. Chaque fois, elle sera la clé d’une autre bénédiction spirituelle.

En Lui, Dieu nous a élus: c’est la première d’entre elles indiquée aux versets 4-6. Si j’ai participé ou assisté à des élections, je sais combien les candidats tiennent à être élus. Moi, je l’ai été, sans rien faire – et j’ai été choisi, non par les hommes, mais par Dieu lui-même. Loué soit-il !

Avant la fondation du monde: les parallèles m’indiquent qu’à cette époque déjà Dieu m’a accordé sa grâce en Jésus-Christ (II Tim. 1, 9) et a inscrit nos noms dans le livre de vie (Ap. 13, 8) .Mystère insondable de son amour que je ne puis qu’accepter dans la louange et l’adoration. Dans quel but m’a-t-il élu ?

Pour que nous soyons saints et irrépréhensibles devant lui: je peux me perdre en réflexions stériles sur le pourquoi de l’élection. Dieu ne répond pas pourquoi il m’a élu. Il voulait un peuple saint qui lui appartienne en propre (cp. Deut. 4, 20) Ma vie répond-elle à cette vocation ? Recherchons les versets parallèles: Rom. 8, 29, Col. l, 22.

Prédestiné. Le verset cinq contient un mot qui nous fait peur: « Prédestiné ». Nous voyons tout de suite le spectre d’une doctrine qui a divisé les chrétiens. Regardons d’un peu plus près. Si nous décomposons le mot, il nous effarouche déjà moins: pré – destiné. Lorsque je fabrique un objet, je le destine à un certain usage. En créant les hommes, Dieu leur a aussi donné une destination : être ses enfants adoptifs. Il les a destinés à cette haute vocation avant même de les créer, c’est ce que veut dire le mot pré-destiné : destiné à l’avance. Pourquoi l’a-t-il fait ? « Dans son amour » : parce que Dieu est un Dieu d’amour, il ne peut faire autrement qu’aimer et imaginer ce qui pourrait contribuer au bonheur des autres. Pourquoi ? Tel était le bon plaisir de sa volonté. Lorsque certains rois employaient cette formule, c’était généralement pour justifier leurs caprices plutôt maléfiques. « Dieu veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité » (I Pi. 2, 4) . Pourquoi encore ? A cause de la grâce qu’il nous a accordée en son Bien-aimé: la grâce est justement ce qui ne peut s’expliquer. C’est un acte gratuit. C’est le geste du Tout-puissant qui efface la dette et supprime toute peine. Par amour pour son Fils bien-aimé, il nous fait tout ce qui peut nous rendre heureux. N’avons-nous pas d’abondants sujets de louanges dans ces quelques versets ?

Continuez à méditer la fin de ce chapitre. Vous y passerez les heures les plus enrichissantes de votre vie.

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