Le désir d’échapper au vieillissement et à la mort existe depuis l’Antiquité. Au Moyen-Âge, les alchimistes européens recherchaient l’élixir de jouvence, la fontaine de jeunesse ou la pierre philosophale qui auraient permis de prolonger indéfiniment la vie.
De nos jours de nouveaux termes apparaissent ; la « médecine régénérative » vise à réparer ou remplacer les cellules ou organes défaillants. Le « transhumanisme » a l’ambition d’enrichir l’être humain avec de nouvelles ressources scientifiques et techniques : il rêve de machines capables de se connecter à un cerveau et de le télécharger pour qu’une personne survive numériquement à son décès.
La Bible répond à ce désir d’immortalité ! Elle affirme en effet que l’existence se poursuit au-delà du décès, pour une durée illimitée. Mais elle nous laisse la responsabilité de choisir entre :
• La « seconde mort » : le bannissement définitif loin de Dieu, une éternité de tourments avec le diable [note] Apoc 20.10-15 [/note] – si l’on refuse le pardon de Dieu.
• La « vie éternelle » : la présence de Dieu, dans un lieu d’une beauté inimaginable, sans deuil ni tristesse [note] Apoc 21.3-7 [/note] – si l’on accepte le pardon et l’autorité de Dieu [note] Jean 3.16 [/note] .
Cette vie éternelle n’est pas définie uniquement par son absence de fin, mais aussi par sa qualité : c’est une relation personnelle avec le Père et avec Jésus-Christ [notre]Jean 17.3 – 5[/note] , qui nous transforme dès maintenant [note]1 Jean 5.13[/note] , pendant notre vie terrestre !