Comme le chardon battu par le vent
Où un bourdon vient s’arrêter,
Comme l’oiseau qui s’envole
Là-bas vers un autre horizon,
Ainsi j’irai, seul, tout seul
Sur un chemin qui n’en finirait plus
De s’enfoncer dans la nature,
Si belle, si profonde de sens,
Elle conduirait tous mes pas,
Voyages, simples divagations,
Le bonheur en bandoulière
Et le soleil sur la tête.

Je les déposerai tous deux
Dans un coeur bien malheureux
Un coeur vide et nanti de rien,
Et qui n’attend qu’un signe de la main
Qu’un peu d’amour, un peu c’est rien
Pour s’ouvrir à Lui, à sa Parole,
A son salut, la victoire de la croix.

Editorial

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